jeudi 27 février 2014

Maxime Bérard Nault

Porno juvénile

Sur les réseaux sociaux, il devenait une jeune fille ouverte sexuellement



LONGUEUIL – Il s'appelle Maxime Bérard Nault et il a 24 ans. Mais sur internet, il se serait fait passer pour une jeune fille assoiffée de sexe dans le but d’attirer des petits garçons et de leur soutirer des vidéos et des photos explicites.
Le présumé pédophile a été arrêté mardi par les enquêteurs de la Sûreté du Québec. Il a comparu mercredi au palais de justice de Longueuil sous des accusations de leurre, extorsion, incitation à des contacts sexuels et production de pornographie juvénile, notamment.
«Il demeure détenu en attente de la suite des procédures», a dit la sergente Joyce Kemp, porte-parole de la SQ.
Selon ce que l'enquête a permis d'établir, l'accusé contactait ses victimes présumées à l'aide de faux profils créés sur différents réseaux sociaux, dont Facebook et Skype.
En seulement quelques clics de souris, Maxime Bérard Nault, passait d'un homme dans la vingtaine à une jeune fille très ouverte sur la sexualité.
«Il utilisait différents profils fictifs de jeunes filles et exigeait par la suite l’envoi de photos ou de vidéos constituant de la pornographie juvénile, a indiqué Mme Kemp. Dans le but d’obtenir davantage de photos ou de vidéos, le suspect menaçait de distribuer ou de publier les photos et les vidéos obtenues sur des sites de messagerie instantanée.»
Les victimes présumées de Maxime Bérard Nault sont des garçons âgés de 11 à 13 ans provenant de la Montérégie et de la couronne Nord de Montréal.
Toute personne qui détient des informations en lien avec les agissements de Maxime Bérard Nault peut en tout temps communiquer avec la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec, au 1 800 659-4264.

Maxime Deland / Agence QMI

Publié le: | Mise à jour:

lundi 24 février 2014

Denis Morisset

Publié le 20 février 2014 à 05h00 | Mis à jour le 20 février 2014 à 05h00

Leurre d'enfants : un ex-soldat arrêté pour la troisième fois

Matthieu Boivin
Le Soleil
 
 
(Québec) Visiblement, l'ancien tireur d'élite de l'armée canadienne Denis Morisset n'a toujours pas dompté ses démons.

Les policiers ont procédé à l'arrestation de cet homme de Québec, mercredi, parce qu'il aurait de nouveau contacté des jeunes femmes âgées de moins de 18 ans par l'entremise d'un ordinateur afin d'obtenir des photos intimes d'elles.
Morisset est cet homme qui a été appréhendé en 2003 et en 2008 pour des motifs similaires. La deuxième fois, les policiers lui avaient mis la main au collet le matin où il devait lancer un livre portant sur sa carrière dans les Forces canadiennes.
Selon ce que Le Soleil a appris, Morisset aurait appâté ses jeunes victimes en naviguant sur un site Internet de rencontre. Il se serait fait passer pour une employée d'une agence de mannequins à la recherche de nouveaux talents. Mais pour espérer travailler, les présumées victimes devaient lui faire parvenir des photos d'elles nues. Certaines adolescentes se seraient fait prendre au jeu et auraient envoyé les fameux clichés incriminants.

Dans certains cas, Morisset aurait donné rendez-vous aux jeunes femmes et aurait pris les photos lui-même, en se faisant passer pour le photographe de l'agence.
Longue enquête
L'Équipe d'enquêtes sur l'exploitation sexuelle des enfants sur Internet (ESEI) de la Sûreté du Québec (SQ) a amorcé son travail sur Morisset en septembre dernier, à la suite d'une plainte d'une présumée victime.
L'enquête a permis aux enquêteurs de l'ESEI de la SQ, en collaboration avec les policiers de la Ville de Québec, de procéder à l'arrestation de Morisset mercredi et de saisir du matériel informatique à son domicile.
Toute information sur cet individu et ses agissements peut être communiquée à la SQ au 1 800 659-4264. Il pourrait y avoir d'autres victimes.Morisset fait face pour le moment à un chef d'accusation de leurre, mais plusieurs autres accusations sont à venir, a confirmé la procureure de la Couronne Carmen Rioux. L'avocate s'est opposée à la remise en liberté de Morisset.
Avec la collaboration d'Isabelle Mathieu

vendredi 21 février 2014

William Kokesch

Pornographie juvénile

Pornographie juvénile: l’ex-diacre de Beaconsfield William Kokesch plaide coupable

Michael Nguyen

Michael Nguyen @

Journal de Montréal, Publié le: | Mise à jour:


Pendant qu’il était très actif à l’église St-Edmund de ­Beaconsfield dans l’ouest de l’île, le diacre William Kokesch téléchargeait, échangeait et commentait des tonnes de pornographie juvénile, allant jusqu’à mettre en scène des fillettes se faisant fouetter.
Au cours les neuf dernières années, William Kokesch était un membre actif de la communauté religieuse de l’ouest de l’île. Il avait été élevé au rang de diacre, soit juste en dessous de prêtre.
Sa chute a débuté en 2012 à Vancouver, alors que la police locale arrêtait un individu soupçonné de télécharger de la pornographie juvénile. Les limiers avaient saisi un disque dur et c’est lors d’une analyse qu’ils ont découvert que leur suspect échangeait avec un Québécois.
Enfants fouettés
Le dossier a été transféré aux policiers de Montréal, qui ont finalement retrouvé le diacre de 66 ans.
«Ils ont trouvé beaucoup de matériel pornographique; il y avait 99 061 images et 2122 vidéos», a résumé Me Dominique Potvin de la Couronne ce vendredi au palais de justice de Montréal.
La majorité des images mettaient en scène des fillettes d'à peine cinq ans, dans des poses érotiques ou dans des situations sexuelles explicites mettant parfois en scène des adultes.
«Il y avait aussi des images d’enfants fouettés», a ajouté Me Potvin.
Kokesch semblait aussi apprécier les bandes dessinées japonaises, puisque les policiers ont également saisi du matériel de type «manga» mettant en scène des enfants d’environ huit ans.
Plusieurs de ces photos étaient accompagnées de commentaires. Aussi, l'homme n’hésitait pas à clavarder sur ses fantasmes sexuels.
Regrets
Pendant que la Couronne résumait la preuve accablante, Kokesch gardait la tête baissée. Et il a finalement reconnu sa culpabilité devant la juge Isabelle Rheault, alors que sa femme le regardait, impuissante, assise dans la salle d’audience.
«Oui, je plaide coupable», a-t-il dit d’une petite voix à la magistrate.
La juge l’a donc déclaré coupable de possession, production et distribution de pornographie juvénile. Il est passible au minimum d’un an de prison ferme.
Sauf que la sentence n’a pas été prononcée aujourd’hui. Avant cela, Kokesch devra se soumettre à une évaluation sexologique, et un rapport présentenciel a été ordonné afin d’éclairer le tribunal sur la personnalité de l’accusé.
«La Cour doit vérifier s’il est un véritable pédophile qui pose un danger pour la société, a expliqué l’avocat de la défense Me Jeffrey Boro à la sortie de la salle d’audience. Il n’y a pas d’allégations d’agression sexuelle mais il faut vérifier s’il était un pédophile passif.»
Depuis son arrestation en décembre 2012, Kokesch a d’ailleurs entrepris des thérapies psychosexologiques, ce qui lui aurait fait comprendre les dommages causés par le téléchargement de pornographie juvénile.
«Quand un crime est commis, il y a des conséquences et la voilà, a ajouté Me Boro. Il regrette la douleur qu’il a causée à sa famille, ses amis, son église.»
Depuis les événements, Kokesch a d’ailleurs arrêté de fréquenter l’église St-Edmund de Beaconsfield, pour «ne pas endommager» sa réputation, a ajouté l’avocat.
La tête basse, Kokesch a quitté le palais de justice de Montréal sans faire de déclaration. Il reviendra à la Cour en mai, pour la suite des procédures.

mardi 18 février 2014

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Publié le 13 février 2014 à 12h08 | Mis à jour le 13 février 2014 à 12h08

Agressions sexuelles en série: 350 nouveaux indices

 
 
 
Une centaine de personnes ont rencontré la police d'Ottawa dans sa traque d'un agresseur sexuel en série toujours en cavale.

Une centaine de personnes ont rencontré la police... (Photo courtoisie) - image 1.0

Photo courtoisie
Jeudi, le sergent Richard Dugal a précisé que 350 indices avaient été livrés par le public depuis l'appel à tous du Service de police d'Ottawa, en janvier dernier.
Alors qu'un suspect est recherché pour au moins trois agressions sexuelles, un autre individu, considéré comme le témoin important d'une agression, attire l'attention des enquêteurs. Ce témoin important n'est pas considéré comme suspect, mais les autorités jugent qu'il pourrait leur fournir des informations précieuses.
«Nous disons merci aux gens qui ont été identifiés, et qui ont collaboré à l'enquête. Nous remercions aussi les membres du public qui nous ont contactés pour offrir leur aide en fournissant des éléments de réponse à nos questions», a déclaré le sergent Dugal.

Plus de 120 personnes ont été identifiées, mais écartées des soupçons des policiers. «Les gens peuvent croire qu'il s'agit d'un parent ou d'un proche, ce qui peut être le cas. Il faut être attentif.»
Le SPO a diffusé jeudi la photo du témoin important qui se trouvait dans les parages d'une scène d'agression sexuelle, le 5 janvier dernier, sur la promenade Chapman Mills. Des images de ce témoin ont été captées par la vidéosurveillance d'un commerce voisin situé tout près de la scène de l'incident.
Le témoin a été décrit comme étant un homme de race blanche aux poils du visage foncés. Il était vêtu d'un manteau matelassé de couleur sombre avec des fermetures éclair, d'une tuque et d'un pantalon de couleur claire.

Eduard Stefan Georgescu

Publié le 17 février 2014 à 15h00 | Mis à jour le 17 février 2014 à 19h50

Un présumé agresseur sexuel en série arrêté
Annabelle Blais
La Presse

Un présumé prédateur sexuel qui aurait agressé au moins 11 femmes à Brossard a arrêté et accusé au terme d'une des plus grandes enquêtes de la police de Longueuil sur des crimes en série.

Eduard Stefan Georgescu, 31 ans,  venait tout juste d'être libéré de la prison de Bordeaux, vendredi, où il purgeait une peine de 12 mois pour agressions lorsqu'il a été arrêté. Il a comparu au palais de justice de Longueuil, hier.
L'agresseur présumé a sévi à Brossard aux abords du terminus d'autobus Panama, entre 2007 et 2012. L'individu accostait des femmes seules en leur demandant des directions routières avant de les agresser sexuellement, sous la menace d'un couteau ou d'une arme feu.
Pour le moment, 11 victimes ont été identifiées et sont âgées de 13 à 29 ans. Pas moins de 32 chefs d'accusation ont été portés contre Georgescu, dont agressions sexuelles armées, séquestration, tentative d'enlèvement et d'actions indécentes.

Eduard Stefan Georgescu... (Photo fournie par la police) - image 2.0
Eduard Stefan Georgescu
Photo fournie par la police
Le Service de la Police d'agglomération de Longueuil (SPAL) croit «fermement» que le suspect aurait agressé davantage de femmes et invite les victimes à se manifester.
«Dès le départ, ce dossier a fait l'objet d'un traitement prioritaire, plusieurs enquêteurs ont été mis à contribution pour identifier l'auteur de cette série de crime», a déclaré l'inspecteur du SPAL, Jean-François Robert, en conférence de presse, lundi.
Dans les dernières années, les policiers ont distribué de nombreux portraits-robots et des patrouilles surveillaient le secteur régulièrement. Le département d'analyse des comportements de la Sûreté du Québec a prêté main-forte au SPAL pour établir un portrait du prédateur.
En novembre dernier, une femme qui aurait été agressée par Georgescu à Montréal a reconnu le portrait-robot et a permis au policier d'identifier le suspect et de lui passer les menottes.

vendredi 7 février 2014

Phillip Nolan

Agression sexuelle

Le batteur du groupe de musique de Stephen Harper accusé d'agression sexuelle

Agence QMI

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OTTAWA – Un membre du groupe musical du premier ministre Stephen Harper fait face à quinze accusations de nature sexuelle. Les gestes auraient été posés sur deux mineures.
Phillip Nolan, 43 ans, d’Ottawa, le batteur du groupe Herringbone, a été inculpé de cinq chefs d’agression sexuelle, de cinq autres de contacts sexuels, et de cinq chefs d’exploitation sexuelle, a fait savoir la police d’Ottawa, jeudi.
Les gestes reprochés à Nolan remonteraient à des événements survenus entre 1998 et 2000 sur deux élèves lorsqu'il était enseignant dans les classes de septième et de huitième année dans une école d’Ottawa.
L’enquête policière a été ouverte en novembre 2013 après le dépôt d’une plainte.
La police craint qu’il puisse y avoir d’autres victimes.
«Nous sommes évidemment choqués et troublés par ces accusations, a souligné Jason MacDonald, directeur des communications au bureau du premier ministre dans une déclaration écrite. De telles allégations n’ont jamais été portées à notre attention. Quiconque est trouvé coupable de telles accusations doit faire face à la pleine rigueur de la loi.»
«Puisque l’individu en question fait maintenant face à des accusations, il serait inapproprié de commenter davantage», a ajouté M. MacDonald

Steve Desormiers

Pornographie juvénile

Un homme de Granby au banc des accusés

Maxime Deland / Agence QMI

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GRANBY – Des accusations de possession et de distribution de matériel pornographique juvénile ont été déposées jeudi après-midi, à Granby, contre un présumé pédophile de 33 ans.
Steve Desormiers avait été appréhendé quelques heures plus tôt, en matinée, par les policiers de l’Équipe d’enquête sur l’exploitation sexuelle des enfants sur internet.
Le suspect a été repéré sur internet par les forces de l'ordre.
Du matériel informatique a été saisi à la résidence du suspect dans le cadre d'une perquisition. Le matériel sera analysé par les enquêteurs après quoi d'autres chefs d'accusation pourraient être portés contre l’homme de Granby.
La Sûreté du Québec demande à toute personne qui détiendrait des informations au sujet de Steve Desormiers de communiquer avec la Centrale de l'information criminelle, au 1 800 659-4264.
L’Équipe d’enquête sur l’exploitation sexuelle des enfants sur internet (ESEI) regroupe des enquêteurs de la Sûreté du Québec et de la Gendarmerie royale du Canada. Depuis sa création, en 2003, plus de 250 arrestations ont été réalisées en lien avec l’exploitation sexuelle des enfants

Normand Bonin

Justice

Il est reconnu coupable 58 ans plus tard

Eric Mondou et Christian Plouffe / Agence QMI

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SAINT-JÉRÔME – Reconnu coupable d’attentat à la pudeur et d’inceste sur des membres de sa famille, un homme âgé aujourd’hui de 78 ans a été condamné à deux ans de prison avec sursis pour des événements survenus dans les années 50 et 60.
Ainsi en a décidé le juge de la Cour du Québec, Normand Bonin, mercredi, au palais de justice de Saint-Jérôme. L’homme devra purger une peine de deux ans moins un jour avec sursis, c’est-à-dire dans la communauté.
Les frasques du septuagénaire avaient débuté en 1955, à Terrebonne, alors qu’il a attenté à la pudeur de sa jeune sœur de 9 ans.
En 1962, celui qui réside à Sainte-Sophie a aussi commis de l’inceste sur sa propre fille, alors qu’elle était âgée de 0 et 9 ans. Les événements, qui se sont produits à Sainte-Anne-des-Plaines, ont duré neuf ans.
L’homme a également été reconnu coupable d’attentat à la pudeur sur cette même victime. Il devra se soumettre à une série d’ordonnances. Il est également déclaré délinquant sexuel à perpétuité.
 

Sonia Boivin, Vincent Bouchard

Porno juvénile

Porno juvénile : une prof et un ex-prof subiront des procès séparés

Guy Latour / Agence QMI

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JOLIETTE – Une enseignante et un ex-enseignant, arrêtés en décembre 2011 pour production et distribution de pornographie juvénile, subiront un procès séparé à l’automne prochain.
Sonia Boivin, 36 ans, de Notre-Dame-des-Prairies, et Vincent Bouchard, 35 ans, de Trois-Rivières, étaient de retour au palais de justice de Joliette, le 6 février.
Après plusieurs discussions entre les avocats au dossier, il a été convenu de fixer le procès de Mme Boivin les 16 et 17 septembre prochain, alors que celui de M.Bouchard aura lieu les 1er et 2 octobre.
Une conférence préparatoire conjointe, dans le but de préparer le procès, se tiendra le 10 avril.
Les deux accusés font aussi face à des chefs d’accusation pour avoir communiqué, par le biais d’internet avec une mineure de moins de 16 ans et pour incitation à des contacts sexuels. Les infractions se seraient déroulées entre le 3 septembre et le 15 octobre 2011.
Lors de l’enquête préliminaire qui a eu lieu en septembre dernier, deux policières de la SQ avaient témoigné que durant une conversation sur internet, Vincent Bouchard aurait proposé à Sonia Boivin d’avoir «un trip à trois» avec une fillette de 12 ans.
Mme Boivin aurait alors débuté une discussion avec celle-ci. Or, la fillette de 12 ans n’était en réalité qu’un personnage fictif qui avait été créé de toutes pièces par Vincent Bouchard.
Les policières avaient mentionné qu’aucune personne mineure n’aurait été contactée par les deux accusés pour une éventuelle rencontre intime.
Mme Boivin et M. Bouchard ont été arrêtés le 7 décembre 2011 et avaient été remis en liberté sous caution après leur mise en accusation.
Sonia Boivin est toujours à l’emploi de la Commission scolaire des Samares, mais elle est suspendue de ses fonctions sans salaire.
Pour ce qui est de Vincent Bouchard, qui était enseignant à la Commission scolaire du Chemin du Roy et entraîneur de football, il ne travaille plus comme enseignant. Il a perdu son emploi peu de temps après son arrestation.

lundi 3 février 2014

Louis Poulin

Attouchements sexuels

Attouchements sexuels : Louis Poulin reconnaît sa culpabilité

Frédéric Desjardins / Agence QMI

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SAINT-JOSEPH-DE-BEAUCE – Louis Poulin, 51 ans, de Saint-Georges, en Beauce, a plaidé coupable, vendredi, à trois chefs d’accusations pour des gestes à caractères sexuels.
Les représentations sur peine auront lieu le 24 avril au palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce. Des rapports présentenciel et sexologique seront rédigés pour cette date.
M. Poulin avait été arrêté en mai 2012 et accusé d’attouchements sexuels sur un adolescent sur lequel il était en situation d’autorité ou de confiance. Il agissait alors comme entraîneur adjoint en football pour les Dragons midget AAA.
Les événements lui étant reprochés auraient eu lieu entre juin 2011 et avril 2012. En août de la même année, deux nouvelles accusations ont été portées contre Louis Poulin à la suite des plaintes de deux victimes mineures victimes d’attouchements entre 2003 et 2005.
Ayant d’abord choisi de subir un procès devant juge et jury avec enquête préliminaire, le prévenu a renoncé à ses deux éléments en 2013. Choisissant ensuite de subir un procès devant juge seul, Louis Poulin a ainsi changé son plaidoyer. Il est présentement en liberté en attendant la suite des procédures.