Sébastien Leduc, 38 ans, a plaidé coupable à une douzaine de chefs d'accusations dans cinq dossiers relatifs à des actes de pédophilie, mardi, au palais de justice de saint-Jérome.
Ce résidants de Saint-Faustin/Lac-Carré faisaient face à des chefs comme leurre, possession et distribution de pornographie juvénile, corruption d’enfants, contacts sexuels, incitation à des contacts sexuels et à divers manquements à des ordonnances ou interdictions qui avaient été prononcées contre lui.
En contrepartie, il y a eu arrêt des procédures conditionnelles concernant des chefs de possession de pornographie juvénile et d’agression sexuelle.
Le 23 mars 2011, les enquêteurs de la Sûreté du Québec avaient procédé à l’arrestation du cyberprédateur pour leurre informatique. L’enquête avait permis de démontrer qu’il se servait de l’Internet pour communiquer avec des jeunes filles de moins de 14 ans pour avoir des relations sexuelles avec elles. Il aurait alors utilisé les réseaux sociaux et diverses adresses de courriel pour joindre ses victimes. Il fonctionnait sous le pseudonyme de Sébastien Gratton. Au fil de l’enquête, de nouvelles accusations se sont ajoutées au dossier de Leduc.
À la demande de la Couronne, Leduc devra subir une évaluation à l’Institut Louis-Philippe Pinel pour savoir s’il doit être déclaré délinquant à contrôler. Il reviendra devant le tribunal le 28 mars 2012 pour la suite des procédures.
Ce résidants de Saint-Faustin/Lac-Carré faisaient face à des chefs comme leurre, possession et distribution de pornographie juvénile, corruption d’enfants, contacts sexuels, incitation à des contacts sexuels et à divers manquements à des ordonnances ou interdictions qui avaient été prononcées contre lui.
En contrepartie, il y a eu arrêt des procédures conditionnelles concernant des chefs de possession de pornographie juvénile et d’agression sexuelle.
Le 23 mars 2011, les enquêteurs de la Sûreté du Québec avaient procédé à l’arrestation du cyberprédateur pour leurre informatique. L’enquête avait permis de démontrer qu’il se servait de l’Internet pour communiquer avec des jeunes filles de moins de 14 ans pour avoir des relations sexuelles avec elles. Il aurait alors utilisé les réseaux sociaux et diverses adresses de courriel pour joindre ses victimes. Il fonctionnait sous le pseudonyme de Sébastien Gratton. Au fil de l’enquête, de nouvelles accusations se sont ajoutées au dossier de Leduc.
À la demande de la Couronne, Leduc devra subir une évaluation à l’Institut Louis-Philippe Pinel pour savoir s’il doit être déclaré délinquant à contrôler. Il reviendra devant le tribunal le 28 mars 2012 pour la suite des procédures.
jle connais ce Sébastien Leduc,y se dompteras jamais finalement...
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