On en a pas asser avec nos délinquants sexuels, le Québec en acceuil de d'autre province des danger public...
MONTRÉAL - L'ancien entraîneur de hockey et prédateur sexuel, Graham James, a plaidé coupable à des chefs d’agressions sexuelles contre deux anciens joueurs mineurs, dont Theoren Fleury.
L'audience a eu lieu dans une salle de tribunal de Winnipeg par lien vidéo depuis Montréal où James vit en liberté sous caution depuis un an.
Les accusations déposées en 2010 portent sur des gestes qui auraient été commis entre 1983 et 1994.
La cause a été remise à plusieurs occasions au cours de la dernière année en raison de pourparlers entre la Couronne et la défense.
Graham James devra revenir en cour le 22 février pour connaître sa peine.
La Couronne va demander une peine d'emprisonnement.
Fleury a tenu un point de presse à Calgary pendant que James comparaissait. Fleury a qualifié son ancien entraîneur de «monstre» et a estimé qu’il n’allait jamais changer. «Je crois en ce que les gens me démontrent. Il m’a démontré qu’il était et est toujours un agresseur.»
«Quand il sortira de prison, il agressera de jeunes enfants encore, encore et encore», a déclaré Fleury.
En entrevue à l’Agence QMI, Fleury a jugé que les agressions sur des enfants sont devenues une véritable «épidémie». «Ça arrive encore tous les jours. Et ça détruit des vies.»
L'ex-entraineur du Manitoba avait déjà reconnu sa culpabilité en 1997 à quelque 350 chefs d'accusation pour agression sexuelle à l'endroit d'au moins deux jeunes hockeyeurs au moment où il dirigeait une équipe de la Ligue de hockey junior majeur de l'Ouest, de 1984 à 1995. Il avait été condamné à une peine d'emprisonnement de trois ans et demi.
L'ancien porte-couleurs des Red Wings de Detroit et des Flames de Calgary, Sheldon Kennedy, a aussi été l'une des victimes de James.
James vivait au Mexique lorsque les autorités ont lancé un autre mandat d'arrêt contre lui. Il a été arrêté en 2010 avant d'être remis en liberté sous caution.
L'audience a eu lieu dans une salle de tribunal de Winnipeg par lien vidéo depuis Montréal où James vit en liberté sous caution depuis un an.
Les accusations déposées en 2010 portent sur des gestes qui auraient été commis entre 1983 et 1994.
La cause a été remise à plusieurs occasions au cours de la dernière année en raison de pourparlers entre la Couronne et la défense.
Graham James devra revenir en cour le 22 février pour connaître sa peine.
La Couronne va demander une peine d'emprisonnement.
Fleury a tenu un point de presse à Calgary pendant que James comparaissait. Fleury a qualifié son ancien entraîneur de «monstre» et a estimé qu’il n’allait jamais changer. «Je crois en ce que les gens me démontrent. Il m’a démontré qu’il était et est toujours un agresseur.»
«Quand il sortira de prison, il agressera de jeunes enfants encore, encore et encore», a déclaré Fleury.
En entrevue à l’Agence QMI, Fleury a jugé que les agressions sur des enfants sont devenues une véritable «épidémie». «Ça arrive encore tous les jours. Et ça détruit des vies.»
L'ex-entraineur du Manitoba avait déjà reconnu sa culpabilité en 1997 à quelque 350 chefs d'accusation pour agression sexuelle à l'endroit d'au moins deux jeunes hockeyeurs au moment où il dirigeait une équipe de la Ligue de hockey junior majeur de l'Ouest, de 1984 à 1995. Il avait été condamné à une peine d'emprisonnement de trois ans et demi.
L'ancien porte-couleurs des Red Wings de Detroit et des Flames de Calgary, Sheldon Kennedy, a aussi été l'une des victimes de James.
James vivait au Mexique lorsque les autorités ont lancé un autre mandat d'arrêt contre lui. Il a été arrêté en 2010 avant d'être remis en liberté sous caution.
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