jeudi 23 février 2012

Francis Cossette (46ans) St-Georges de Beauce.



Coupable d'agressions sexuelles répétées sur une enfant.


(Québec) Un bourreau sexuel de Saint-Georges de Beauce, Francis Cossette, a reconnu avoir agressé sexuellement à maintes reprises une mineure âgée entre 9 et 15 ans, hier, lors de sa comparution au palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce.
Devant le juge Christian Boulet, l'individu a avoué sa responsabilité dans la moitié de la dizaine de chefs d'accusation qui avaient été portés contre lui par la procureure de la Couronne, Me Audrey Roy-Cloutier, en octobre dernier. Les accusations qui ont été retenues réfèrent notamment à différents gestes de nature sexuelle, à un chef de voies de fait armées, à une accusation d'agression sexuelle armée et à une autre de menaces de mort. Il y a ainsi eu arrêt des procédures pour les autres accusations.
Les faits reprochés se sont notamment déroulés entre 2005 et 2011, à Saint-Georges de Beauce, à Québec et à Boston, aux États-Unis. Selon le résumé des faits présenté au juge Boulet par le ministère public, Cossette aurait commencé à s'adonner à des contacts sexuels sur la victime à l'âge de sept ans, avant d'avoir une première relation sexuelle complète (vaginale et anale) avec elle, alors que cette dernière était âgée de neuf ans seulement.
Pendant les six années qui ont suivi, elle a eu plusieurs relations sexuelles complètes avec le délinquant. Elle était la cible de son agresseur plusieurs fois par mois. Durant un de ces épisodes, il l'a violée en l'étranglant avec une ceinture sur une laveuse. À un autre moment, pour qu'elle cesse de pleurer, Cossette lui a placé un couteau sur la gorge. Il menaçait de la tuer si elle le dénonçait et de faire mal aux gens qu'elle aime.
Incapable d'endurer davantage les supplices qui lui étaient imposés, la victime avait porté plainte à la police de Saint-Georges de Beauce un dimanche soir d'octobre. Elle avait en premier lieu informé un ami de ce qui se passait dans sa vie en lui envoyant un message texte. Il est allé la chercher pour ensuite l'amener au poste de police, où elle a tout raconté à un policier. Cossette a ensuite été arrêté rapidement et accusé.
Dans une déclaration incriminante de Cossette présentée à la cour, l'agresseur disait qu'il agissait sous le coup d'impulsions.
Le cas de cet homme, qui est représenté par Me Marie-Claude Perron, reviendra devant le tribunal le 22 mars. Il demeure toujours détenu.









24 février 2012

Agressions sexuelles
Francis Cossette plaide coupable.

SAINT-GEORGES – Francis Cossette, 46 ans, a plaidé coupable à cinq des neuf chefs d'accusation qui pesaient contre lui cette semaine au Palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce.
Les accusations qui pesaient contre lui étaient principalement des crimes à caractère sexuel, des voies de faits armés et des menaces de mort.
Les événements se sont déroulés entre 2005 et 2010 allant d'attouchements à des relations sexuelles complètes. La victime alors âgée entre 7 et 9 ans a été agressée à plusieurs reprises.
Elle a finalement dénoncé son agresseur en communiquant avec un ami qui l'a amenée au poste de police de Saint-Georges pour porter plainte.
Le jugement dans cette cause devrait être prononcé le 22 mars prochain.

Agence QMI Simon Busque24/02/2012 19h45

Patrick Charlemagne (39ans) ?

Un récidiviste agresse une adolescente.
Condamné à 12 ans de prison en 2000 pour une sordide agression sexuelle, Patrick Charlemagne a récidivé après avoir obtenu une liberté conditionnelle. Cette fois, l'homme de 39 ans a jeté son dévolu sur une adolescente de 15 ans atteinte de déficience intellectuelle.
La victime était la fille d'une femme de son entourage. M. Charlemagne a profité de l'absence de la mère pour se livrer aux gestes qui lui ont été reprochés. Les faits ont été découverts quand l'adolescente a raconté sa mésaventure à l'école. Elle allait avoir un bébé, a-t-elle dit, car Patrick avait fait ce qu'il fallait.
Une plainte a été portée à la police et M. Charlemagne a été accusé. Il a eu son procès récemment pour cette agression survenue entre les 8 et 10 janvier 2010. Selon les explications données lors du procès, il y a eu pénétration anale et vaginale de l'enfant. L'homme a aussi contraint l'enfant à lui faire une fellation. Une petite culotte de la jeune fille, contenant du sperme de l'agresseur, a été trouvée dans la chambre de la victime.
Hier, le juge Pierre Labelle a déclaré Patrick Charlemagne coupable d'attouchements sexuels, d'incitation à des contacts sexuels et de voie de fait armée. Dans ce dernier cas, il s'agit de voie de fait avec une ceinture, en lien avec des événements qui se sont produits entre janvier 2009 et janvier 2010. L'adolescente a été frappée.
M. Charlemagne, qui est détenu, n'a pas bronché quand le juge a rendu sa décision, hier. La procureure de la Couronne Rachelle Pitre a demandé une évaluation pour l'accusé, car elle envisage de le faire déclarer «délinquant à contrôler». Me Pitre est d'avis que M. Charlemagne est incapable de maîtriser ses pulsions. M. Charlemagne doit retourner devant le tribunal le 23 avril pour la suite du processus.

Christiane DesjardinsLa Presse

Troy Dottin (30ans) Montréal.



Selon la police de Montréal
Un présumé prédateur sexuel aurait fait plusieurs victimes .



MONTRÉAL – La police de Montréal soupçonne Troy Dottin d'avoir abusé de plusieurs femmes et elle demande donc à de possibles victimes de se manifester.
Âgé de 30, Troy Dottin a été arrêté en février après avoir eu des relations sexuelles avec une adolescente de 15 ans.
Il aurait photographié et filmé ses ébats avec elle, avant de menacer de les diffuser sur internet si elle ne lui donnait pas de l'argent. Il avait rencontré sa victime en novembre.
La police de Montréal dit « avoir de bonnes raisons de croire » que l'accusé ait agi de la même manière envers d'autres femmes dans la région de Montréal.
Troy Dottin fait face à des accusations d'agression sexuelle, de production et possession de pornographie juvénile, de contact sexuel avec une personne mineure, d'incitation à des contacts sexuels, d'extorsion et de menaces de mort.
Il est incarcéré en attendant son procès.



Agence QMI 23/02/2012 11h29

Steven Dyer (?ans) Montréal, US.

Agresseur sexuel
Fugitif américain arrêté à l'aéroport Montréal-Trudeau.


TORONTO – Un prédateur sexuel recherché depuis 10 ans aux États-Unis a été appréhendé par les autorités fédérales, peu après 21 h, mardi, à l'aéroport Montréal-Trudeau, a annoncé mercredi l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC).
Steven Dyer a été intercepté à bord d'un vol en provenance du Venezuela, a indiqué Véronique Lalime, porte-parole de l'ASFC. Il est actuellement détenu à Montréal.
Le fugitif a été reconnu coupable en avril 2002 de 13 chefs d'agression sexuelle commis sur des mineurs entre 1999 et 2001.
Il était recherché depuis le début de 2002, en Arizona, après avoir omis de se présenter devant les tribunaux à la suite d'une libération conditionnelle.
Selon l'ASFC, Dyer avait usurpé l'identité d'un citoyen canadien et résidait à Vancouver.
L'agence fédérale savait que Dyer se trouvait à l'extérieur du Canada. Il a été identifié à son retour au pays, puis mis en état d'arrestation.
L'avis de recherche concernant Dyer avait fait l'objet d'un reportage dans la populaire émission télévisée America's Most Wanted .
Selon le site web de l'émission, Dyer avait profité de sa remise en liberté pour prendre la fuite et n'a donc jamais obtenu sa sentence. Il fait face à une peine minimale de 169 années de pénitencier aux États-Unis.
Selon America's Most Wanted, Dyer a été représentant pharmaceutique à Scottsdale, en banlieue de Phoenix, et bénévole dans l'organisation Grands Frères et Grandes Soeurs, aux États-Unis.
Matt Hershey, superviseur chez le U.S. Marshals Services, une agence de police fédérale, espère que l'arrestation de Dyer permettra aux victimes, deux adolescents, et à leurs familles de reprendre un cours de vie normal.
«Pendant dix ans, il (Dyer) a été en mesure de faire ce qu'il voulait. Pendant ce temps, les victimes étaient toujours hantées par ses crimes, et elles se demandaient où il pouvait bien se terrer. Espérons que ce sera un soulagement pour les victimes», a expliqué le Marshal Hershey.
Mme Lalime a indiqué que Dyer devra faire face à la justice canadienne avant d'être remis aux autorités américaines.
Steven Dyer avait été libéré sous condition grâce à une caution de 100 000 $ qu'avait versé sa famille.



Agence QMI Charles-Antoine Gagnon22/02/2012 10h44 - Mise à jour 22/02/2012 17h39

George Paré (65ans) Gatineau

Gatineau
Un sexagénaire accusé d'agression sexuelle.

OTTAWA – George Paré, un homme de Gatineau âgé de 65 ans, est accusé d'avoir agressé sexuellement un garçon d'âge mineur à plusieurs reprises.
Les agressions, qui seraient survenues entre le 1er mai 2004 et le 4 octobre 2011, auraient débuté lorsque l'enfant était âgé de huit ans.
Les enquêteurs pensent que Paré offrait des cadeaux à sa présumée victime, dans le but d'obtenir des faveurs sexuelles.
La police a déclaré qu'elle étudiait la possibilité qu'il puisse y avoir d'autres victimes.
Paré a été libéré sous condition dans l'attente de son procès. Il lui est notamment interdit de se trouver en présence de toute personne âgée de moins de 16 ans. Il sera de retour en cour le 28 mai.
Agence QMI Doug Hempstead22/02/2012 14h07

lundi 20 février 2012

Jean-Sébastien Vachon, (?ans) Campbell's Bay.

Employé de camp de vacances accusé d'agression sexuelle.
(Campbell's Bay) Le procès d'un coordonateur de Camp de vacances de Mansfield-et-Pontefract se poursuit mercredi au palais de justice de Campbell's Bay.
Jean-Sébastien Vachon a entendu sa troisième victime alléguée, une ancienne monitrice, mercredi. L'avocat de l'accusé, Wayne Lora, l'a confrontée à ses trous de mémoire et le fait qu'elle avait «accepté» des relations sexuelles à une trentaine de reprises, autour de 2007.
Le Camp Arboribourgh a été fermé depuis.
Les agressions présumées ont eu lieu en différents endroits, selon la Couronne.
Le procès de Jean-Sébastien Vachon sera plus long que les trois jours prévus et se poursuivra plus tard cette année.

Louis-Denis EbacherLe Droit

André Rousseau (65ans) Longueuil, Chicoutimi

Agressions sexuelles présumées
La police recherche d'autres victimes.

LONGUEUIL – Les policiers de Longueuil ont lancé un appel au public, lundi, afin de retrouver des victimes potentielles d'un homme de 65 ans arrêté en novembre et soupçonné de trois agressions sexuelles, dont deux sur des enfants.
André Rousseau a été épinglé par les policiers le 24 novembre. Selon ce que l'enquête a permis d'établir, le suspect serait le fondateur de l'école spirituelle Gnose, dont les activités se tiennent dans sa propre résidence.
C'est d'ailleurs durant des cours de chant et de musique offerts à son école spirituelle que Rousseau aurait commis ses agressions.
Jusqu'à maintenant, les policiers ont réussi à identifier trois présumées victimes : une adolescente de 13 ou 14 ans, un garçon d'environ 10 ans, ainsi qu'une femme de 36 ans.
« Certaines de ces agressions auraient eu lieu il y a plusieurs années, a dit l'agent Patrick Barrière, porte-parole de la police de Longueuil. L'une d'elles aurait été commise à Chicoutimi. »
Selon l'agent Barrière, les enquêteurs qui travaillent dans ce dossier ont « de bonnes raisons de croire » qu'André Rousseau aurait pu faire d'autres victimes, à divers endroits dans la province.
Les policiers demandent donc à toute personne qui aurait pu être agressée ou incitée à des contacts sexuels par le suspect de communiquer avec eux en téléphonant au 450-463-7211 ou en appelant directement au 9-1-1.
Agence QMI Maxime Deland20/02/2012 15h42
http://youtu.be/rr5BZa03TI0

mardi 14 février 2012

Albini Landry (75ans) Senneterre, Lebel sur Quévillion.

Pédophilie Abitibi-Témiscamingue
Albini Landry devra attendre.



SENNETERRE – L'annonce du verdict du procès du pédophile Albini Landry, qui s'est tenu au palais de justice de Senneterre, en Abitibi-Témiscamingue, a été reportée mardi au 25 avril prochain.
L'homme de 75 ans de Lebel-sur-Quévillon, dans le Nord-du-Québec, avait plaidé coupable en octobre 2011 à des accusations d'attouchements sexuels sur deux fillettes.
Les faits reprochés à l'accusé se sont déroulés entre 1991 et 1997.
L'une des deux victimes, aujourd'hui âgée de 25 ans, a raconté qu'elle souffre toujours de crises d'anxiété, d'insomnie et de dépression. Elle doit également observer un suivi psychologique et psychiatrique, et doit faire face à des troubles conjugaux en raison de difficultés éprouvées dans les moments d'intimité.
La Couronne réclame une peine de trois années de détention dans un pénitencier, l'inscription au registre des délinquants sexuels, ainsi que l'interdiction de fréquenter des endroits (piscines, parc, cours d'école, etc.) où l'accusé pourrait se retrouver en contact avec des enfants âgés de moins de 16 ans.
La défense a plaidé pour sa part pour une peine de deux ans moins un jour avec sursis, que l'accusé purgerait à son domicile. Cette peine s'assortirait d'un lot de conditions restrictives, dont une interdiction de tout contact avec les victimes et des enfants d'âge mineur pour une durée de trois années subséquentes à la peine avec sursis.
Albini Landry a par ailleurs proposé de faire un don d'une valeur de 1000$ à 1500$ à Assaut sexuel secours. Invité à prendre la parole, il a affirmé regretter ses gestes, reconnaissant une fois de plus sa culpabilité.
En raison de son âge et de troubles de santé, Landry demeure la plupart du temps chez lui, ce qui a poussé la Couronne à soulever la question de l'impact punitif qu'une peine sans incarcération pourrait avoir sur une personne dont le quotidien correspond déjà à demeurer chez elle?
Le juge Jean-Pierre Gervais a prévenu qu'il ne s'agissait pas là d'un élément déterminant dans la décision qu'il rendra dans ce dossier.

Agence QMI Philippe Doherty14/02/2012 20h05

Raymond-Marie Lavoie (71ans) Sainte-Anne-de-Beaupré

Trois ans de prison pour le rédemptoriste Raymond-Marie Lavoie.


(Québec) Le prêtre rédemptoriste Raymond-Marie Lavoie a écopé vendredi d'une peine d'emprisonnement de trois ans pour avoir agressé sexuellement 13 anciens élèves du Séminaire Saint-Alphonse, à Sainte-Anne-de-Beaupré.
Le religieux âgé de 71 ans, qui a entendu sa peine sans broncher au palais de justice de Québec, a sévi contre des adolescents âgés entre 12 et 16 ans entre 1973 et 1985 alors qu'il était surveillant du dortoir de l'établissement d'enseignement, professeur de musique et responsable de pastorale. Au cours de cette période, il aurait notamment masturbé et caressé les jeunes pensionnaires qu'il avait sous sa responsabilité.
Le père Lavoie, l'air absent et sous l'effet de médicaments, était accompagné vendredi par un «gardien» assigné par la congrégation des Pères rédemptoristes. Celui-ci transportait les maigres bagages que le prêtre allait emporter avec lui derrière les barreaux.
Raymond-Marie Lavoie avait plaidé coupable le 11 juillet dernier aux 21 chefs d'accusation qui étaient portés contre lui.
Déçue, la Couronne ira en appel
La procureure de la Couronne, Me Carmen Rioux, réclamait une peine d'au mois huit ans, une demande qualifiée de «nettement inappropriée» par la juge Chantale Pelletier. Me Rioux a déjà annoncé qu'elle porterait la cause en appel. «Les gens sont amers, les gens sont déçus», a soutenu Me Rioux, au sujet des victimes du prêtre Lavoie. «Il n'y a rien qui va replacer les victimes dans l'état où elles étaient avant d'être l'objet de ces crimes odieux là», a ajouté l'avocate.
Il a scrappé des dizaines de vies
L'une d'entre elles, Frank Tremblay, croit que son agresseur «s'en va où il devrait aller depuis des dizaines d'années». «Il a scrappé des dizaines de vies, là, on vient de le dépeindre tel qu'il est, un criminel, c'est ça qu'on savait depuis le début. Et sans mauvais jeu de mots, il est en train de paver la voie. S'il y a d'autres pareils comme lui, ils pourront le suivre», a affirmé M. Tremblay, qui est également le requérant d'un recours collectif mené contre le père Lavoie, l'ancien Séminaire Saint-Alphonse et la congrégation des Rédemptoristes.
Sentence «sage et appropriée»
De son côté, la défense avait recommandé une peine de prison de moins de deux ans, avec une probation de trois ans. L'avocat de Raymond-Marie Lavoie, Me Serge Goulet, s'est dit satisfait du verdict, ajoutant que la sentence était «sage et appropriée». Quant à son client, celui-ci savait très bien qu'il allait en prison et qu'il «acceptait son sort et qu'il méritait la punition appropriée», a souligné Me Goulet. «Il avait péché et savait qu'il devait en payer le prix», a ajouté le procureur.
Abus d'autorité
Dans sa décision, la juge Chantale Pelletier souligne que le facteur aggravant le plus déterminant est incontestablement l'abus d'autorité. Elle soutient aussi que l'élément de préméditation est important, puisque l'accusé faisait de nouvelles victimes chaque année scolaire et que pour 10 d'entre elles, les infractions se sont répétées à de multiples reprises.
«Les parents qui confient leurs enfants à ces collègues s'attendent à ce qu'ils soient en sécurité, sous la protection de personnes soucieuses de la responsabilité qui leur est déléguée. Comme surveillant du dortoir, l'accusé bénéficiait d'une situation privilégiée: des proies jeunes, sans défense et à portée de main», écrit la magistrate.
Des regrets
Celle-ci rappelle l'âge de l'accusé, qu'il n'est plus en contact avec des jeunes, qu'il n'aurait pas récidivé depuis 1985 et qu'il a manifesté des regrets à l'égard de ses victimes. La juge fait également remarquer que l'agente de probation a estimé que les risques de récidive étaient faibles et que l'isolement dans lequel la communauté religieuse a confiné son membre l'empêche de rencontrer des jeunes.
Le nom du père Lavoie sera enregistré au registre des délinquants sexuels.


Annie MathieuLe Soleil

Cinq suspects relâchée...En attendant leurs procès pour proxénétisme.

Proxénétisme
Cinq suspects relâchés.



MONTRÉAL – Une adolescente et sa mère sont grandement inquiètes depuis que cinq des six hommes qui auraient forcé l'adolescente à se prostituer ont été relâchés dans l'attente de leur procès.
Après plusieurs mois de travail, les enquêteurs de la Section exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales de la Division des crimes majeurs du SPVM ont arrêté, le 8 février, Mohammed Rami Taha, 19 ans, Abdul Karim Nassereddine et Naib Ali Soilihi, tous deux âgés de 20 ans, ainsi qu'un autre suspect ne pouvant être identifié puisqu'il est mineur.
Ces quatre arrestations ont été faites un peu moins d'un mois après celle d'un jeune homme d'âge mineur, que le SPVM a épinglé le 12 janvier, relativement au même dossier.
Un sixième individu a par la suite été arrêté la semaine dernière.
Nombreuses accusations
Les suspects sont accusés de proxénétisme juvénile, traite de personnes mineures, agressions sexuelles, contacts et incitation à des contacts sexuels, prostitution juvénile, agressions armées et menaces de mort.
Malgré toutes ces accusations, cinq d'entre eux ont été libérés moyennant une caution de 2000 $ chacun, un couvre-feu en vigueur de 21 h à 5 h et l'interdiction de communiquer avec leurs présumées victimes. Un des suspects doit également demeurer chez ses parents.
Le 18 février 2011, deux adolescentes auraient fugué d'un centre de la Direction de la protection de la jeunesse, à Laval, a témoigné un enquêteur de la police de Montréal.
Elles auraient alors été « cueillies » par un mineur, a fait savoir le SPVM.
Deux jours plus tard, le calvaire des victimes aurait commencé. Le jeune homme les aurait amenées à une résidence de la rue Viau, à Montréal. Sous la menace et l'agressivité du jeune homme, les victimes auraient été forcées d'avoir des relations sexuelles, moyennant rétribution, avec deux des accusés qui ont comparu lundi.
Inacceptable
Pierre-Hugues Boisvenu considère que la libération des suspects est inacceptable.
« Quand ce sont des jeunes mineures ou majeures qui dénoncent, ces gens-là en attente de procès devraient rester en prison, a soutenu le sénateur conservateur. Il faut protéger les victimes sinon les filles et les femmes ne dénonceront pas.»
Une des victimes et sa mère craignent les représailles, elles qui s'étaient d'abord réjouies des arrestations des suspects.



Agence QMI 14/02/2012 14h31

Benoit Guay (40ans) Montréal.



Justice
Un ex-policier condamné pour viol sort de prison.

MONTRÉAL – Benoit Guay, condamné à un peu plus de cinq ans de prison pour avoir agressé sexuellement plusieurs jeunes femmes, vient d'obtenir sa libération d'office. Il purgera le reste de sa peine dans la collectivité, mais il fera toutefois l'objet d'un encadrement serré et devra respecter plusieurs conditions.
Il s'agit d'une deuxième chance pour cet ex-policier montréalais, qui avait déjà obtenu une première libération d'office aux deux tiers de sa peine en janvier 2011. Cette semi-libération avait cependant pris fin en septembre.
L'homme de 40 ans avait rencontré une jeune femme de 21 ans, présentant les mêmes caractéristiques que ses victimes, sans en parler à son agent de libération conditionnelle. Il a ainsi contrevenu à une de ses conditions.
La Commission des libérations conditionnelles a jugé que «l'encadrement très serré d'une maison de transition» était donc nécessaire dans son cas, précisant qu'elle «tenait compte de la gravité de sa criminalité et de l'importance de son dernier bris de condition» dans sa décision.
Des thérapies bénéfiques
Benoit Guay a suivi des thérapies en plus de participer à divers programmes visant à contrer sa déviance sexuelle lors de son incarcération. Cela lui aurait permis de faire des «acquis intéressants, notamment quant à son empathie envers les victimes».
Malgré une certaine prise de conscience, M. Guay sera soumis à un couvre-feu entre 22 h et 6 h puisque c'est durant ces heures qu'il a commis ses agressions. De plus, il n'aura pas le droit d'être en contact avec toute personne d'âge mineur ou de sexe féminin, sans l'autorisation de son agent de probation.
Huit victimes
Benoit Guay a été condamné en 2007. Celui qu'on surnomme «le violeur du parc linéaire», en référence à l'endroit où il a commis certains de ses crimes, a agressé huit jeunes femmes âgées de 15 à 20 ans.
Il menaçait ses victimes à la pointe d'un couteau ou encore avec son arme de service pour arriver à ses fins.
Agence QMI Laurent Dionne13/02/2012 20h09

jeudi 9 février 2012

Normand Lussier (61ans) St-Hyacinthe

Publié le 09 février 2012 à 05h00 Mis à jour à 05h00
Agression sexuelle sur quatre mineures : Normand Lussier plaide coupable.
(Saint-Hyacinthe) Un homme d'Acton Vale accusé d'avoir agressé sexuellement quatre mineures, dans les années 1970 et 1980, a coupé court au processus judiciaire en plaidant coupable, hier, à l'aube de son procès.
Portant un costume, le visage résigné sous d'épaisses lunettes, Normand Lussier a répondu «coupable» aux 11 chefs d'accusation prononcés contre lui, au palais de justice de Saint-Hyacinthe.
Sa volte-face a fait suite à une négociation entre la Couronne et la défense, en matinée, qui ont convenu d'une peine de quatre ans de prison pour l'homme de 61 ans. La sentence doit toutefois être entérinée par la juge de la Cour du Québec Suzanne Paradis. Un rapport présentenciel, «sexologique» ainsi que des plaidoiries sur la peine devront donc être présentés à la cour à une date ultérieure.
Les parties veulent en effet étayer leur suggestion commune et permettre aux victimes, aujourd'hui majeures, de s'exprimer devant le tribunal si elles le souhaitent.
Trop clément?
À leur sortie de la salle d'audience, certaines d'entre elles ont fait savoir qu'elles jugeaient trop clémente la peine suggérée. «Au Québec, voler des enfances, ce n'est pas grave, a lancé l'une d'elles. Pour un vol de banque ou faire pousser du pot, c'est plus que ça [quatre ans de prison].» Les noms des victimes sont couverts par une ordonnance de non-publication.
«On protège qui? a-t-elle ajouté. Je ne dis pas ça pour moi, je ne veux pas que ça arrive à d'autres personnes.»

Pascal FaucherLa Voix de l'Est

mardi 7 février 2012

Maximilien Perron-Lefebvre (27ans) Lévis,Québec.

Agression sexuelle d'un adolescent: un homme de 27 ans plaide coupable
(Québec) Déjà reconnu coupable d'avoir accédé à de la pornographie juvénile et d'en avoir distribué, en 2010, Maximilien Perron-Lefebvre, 27 ans, a plaidé coupable hier à des accusations d'avoir agressé sexuellement un adolescent de 13 ans, en 2004.
Pour l'ensemble de ces délits, la procureure de la Couronne, Me Valérie Lahaie, a réclamé une peine globale de 35 mois de pénitencier, dont il resterait deux ans à purger, déduction faite de la détention provisoire de 11 mois de Perron-Lefebvre. L'avocat de l'individu, Me Charles-Olivier Gosselin, a pour sa part suggéré au juge René de la Sablonnière d'infliger une peine de 18 mois au pédophile. En déduisant sa détention provisoire ainsi que le tiers des neuf mois que ce dernier a passés en thérapie pour des problèmes de consommation d'alcool, il lui resterait quatre mois à purger.
Les sévices ont été commis à Lévis. À quatre reprises en trois mois, l'individu a masturbé l'adolescent et il l'a incité à le masturber.
En ce qui concerne la pornographie juvénile, Perron-Lefebvre a accédé une seule fois à 40 fichiers de jeunes garçons. En avril 2010, il a en outre distribué cinq films de jeunes garçons sur Facebook.
Selon la procureure de la Couronne, la victime dit avoir tourné la page, mais c'est toujours difficile pour elle d'en parler. Aussi a-t-il décliné l'offre de témoigner devant le juge pour décrire les conséquences que les crimes ont eues pour lui.
L'avocat de l'accusé sans antécédents judiciaires a pour sa part soutenu que celui-ci a été stigmatisé par la médiatisation de son affaire. Analphabète et dépressif depuis un certain temps, Perron-Lefebvre a entrepris des cours d'alphabétisation au Centre de détention de Québec.
Le juge prononcera sa sentence le 19 mars.

Richard HénaultLe Soleil

André Diotte(39ans) Laval




Courtier immobilier
Il aurait agressé sexuellement sa cliente.



LAVAL – La police de Laval a lancé un appel au public, mardi, afin de retrouver des victimes potentielles d'un courtier immobilier de la couronne nord de Montréal, arrêté à la fin janvier pour une agression sexuelle qu'il aurait commise dans le cadre de son travail.
André Diotte, 39 ans, avait été appréhendé par les policiers de Laval le 31 janvier.
Il est soupçonné d'avoir agressé sexuellement une de ses clientes, âgée de 30 ans, le 1er décembre dernier, au domicile de la victime.
«Compte tenu des circonstances entourant cet événement, nos enquêteurs ont de fortes raisons de croire que le suspect a fait d'autres victimes au cours des dernières années dans la grande région métropolitaine», a indiqué l'agente Nathalie Lorrain, porte-parole de la police de Laval.
Ce qui rend cette histoire encore plus troublante, c'est le contexte dans lequel l'agression sexuelle aurait été commise. Le courtier immobilier aurait en effet profité de la vulnérabilité de ses clientes endeuillées pour assouvir ses bas instincts.
Sur sa page Facebook, André Diotte écrit qu'il est «spécialisé à représenter des gens qui vivent un deuil de près ou de loin et qui doivent vendre leurs biens immobiliers. Séparations, divorces, curatelles, tutelles, décès, etc.»
Sa page Facebook renferme également un lien menant vers son site web personnel, qui n'est toutefois plus opérationnel.
Congédié avant son arrestation
Le président-directeur général de l'agence immobilière RE/MAX des Mille-Îles, Renaud Thibault, a affirmé qu'André Diotte ne travaillait désormais plus au sein de l'entreprise.
«Il a été remercié quelques semaines avant d'être arrêté et son renvoi était strictement pour des raisons professionnelles», a dit M. Thibault.
Ce dernier avoue avoir été assommé en apprenant la nouvelle concernant son ancien employé. «Ça fait 25 ans que je suis dans le métier et une histoire comme celle-là, je n'ai jamais vu ça», a-t-il fait remarquer.
«Je pense que c'est un cas isolé, a dit le dirigeant de RE/MAX des Mille-Îles. On n'aurait pas pu s'en douter, d'autant plus que tous les courtiers immobiliers sont enquêtés par la Sûreté du Québec avant de commencer dans le métier.»
Remis en liberté
André Diotte n'avait aucun antécédent criminel avant d'être arrêté il y a une semaine, puis formellement accusé d'agression sexuelle.
Il est resté détenu jusqu'à son enquête caution, vendredi, au terme de laquelle le juge l'a remis en liberté sous plusieurs conditions. Il a rendez-vous au tribunal le 17 avril pour la suite des procédures.
La police de Laval demande aux femmes qui auraient pu être agressées sexuellement ou victimes d'attouchements par André Diotte de téléphoner au 450 662-INFO (4636) en mentionnant le dossier LVL 111201 088. L'information sera traitée de façon confidentielle et anonyme.

Agence QMI Maxime Deland07/02/2012 17h36

samedi 4 février 2012

Saguenay - Agressée sexuellement, elle attend de témoigner depuis quatre ans

Saguenay - Agressée sexuellement, elle attend de témoigner depuis quatre ans

Dany Tremblay(chauffeur autobus scolaire)(39ans) Saguenay

Agressée sexuellement, elle attend de témoigner depuis quatre ans.

SAGUENAY – Une mère de famille de Saguenay remet sérieusement le système de justice en question. Sa fille, âgée de 17 ans aujourd'hui, attend depuis quatre ans que son présumé agresseur sexuel, un ancien chauffeur d'autobus scolaire, subisse son procès.
À 11 reprises, les procédures contre Dany Tremblay, âgé de 39 ans, ont été reportées. La mère de famille déplore tous ces reports. «Avoir su, on l'aurait fait soigner, suivre par des professionnels, et tout cela serait derrière nous, a-t-elle expliqué. Toutes les fois, c'est un stress immense pour ma fille. Elle doit se préparer à aller témoigner, elle doit se remémorer les événements. Elle devient tellement nerveuse qu'elle en a mal au ventre.»
La présumée victime, elle, hésite à poursuivre ses démarches en justice. «C'est moi qui réussis toujours à la convaincre d'aller jusqu'au bout, mais je ne suis plus convaincue moi-même!» a ajouté sa mère.
L'avocat de l'accusé, Me Dominic Bouchard, a expliqué les remises par le fait qu'il était retenu dans d'autres procès devant jury.
La directrice des poursuites criminelles et pénales a tenté de s'opposer à la dernière requête, sans succès. Me Mélanie Paré s'inquiète de la préservation de la preuve. «Plus les délais sont longs, plus la mémoire des présumées victimes peut faire défaut et plus il est difficile pour nous de faire une preuve hors de tout doute raisonnable», a-t-elle dit.
Et pendant que l'accusé est en liberté, la mère de la présumée victime ajoute: «c'est ma fille qui est en prison!»


Agence QMI Sonia Lavoie03/02/2012 19h42

??? (35ans) Québec.

Québec
Accusé d'avoir battu et agressé une fillette

MISE EN GARDE : CET ARTICLE CONTIENT DES DÉTAILS QUI POURRAIENT CHOQUER CERTAINS LECTEURS
QUÉBEC - Un véritable tortionnaire de 35 ans, de Québec, fait face à de lourdes accusations criminelles pour avoir agressé, battu et menacé à de multiples reprises sa belle-fille, qui était âgée de six ans au début des événements.
L'individu – qu'on ne peut nommer – est accusé d'une kyrielle de chefs de voies de faits armés, voies de fait causant des lésions, contacts sexuels, incitations à des contacts sexuels et menaces envers la fillette pour des gestes posés entre 2009 et 2011.
Selon les faits relatés, jeudi, par la procureure de la Couronne au dossier, Carmen Rioux, le «tortionnaire» se plaisait à réveiller sa victime en pleine nuit, prétextant qu'elle avait adopté un mauvais comportement. Il lui faisait alors tenir des positions particulières – elle a dû tenir un disque compact entre ses fesses, à une occasion, et un pop sicle, à une autre – et attendait qu'elle faiblisse pour la punir.
Les «punitions» pouvaient se traduire par des coups, tantôt de bâton, tantôt de ceinture. Il demandait parfois au frère aîné de la petite de la surveiller et de la frapper si jamais elle bougeait de la position qu'il lui avait ordonné de tenir. Ce qu'il faisait, sans quoi son beau-père l'insultait et le rabaissait.
Couverte de bleues
C'est une visite à l'hôpital, en décembre dernier, qui avait éveillé les soupçons des autorités. La petite accompagnait alors sa mère et son frère pour faire soigner ce dernier. L'attention des médecins s'était toutefois tournée vers la fillette, dont le corps et le visage étaient couverts d'ecchymoses.
L'hôpital avait alors contacté les policiers et une enquête avait été instituée. La victime avait passé quelques jours au centre hospitalier, pour évaluer son état, puis avait été rencontrée par les policiers.
Contacts sexuels
En interrogatoire, l'enfant, aujourd'hui âgée de huit ans, avait confié qu'elle avait eu des contacts sexuels à plusieurs reprises avec son beau-père, qui l'aurait pénétrée, en plus de lui demander de le toucher et de lui faire une fellation.
Comme si la liste des sévices n'était pas assez longue, l'accusé fait aussi face à des chefs de voies de fait envers sa conjointe – la mère de la petite victime – à qui il aurait donné des coups, en plus de lui tirer les cheveux. Il est aussi accusé de méfait pour avoir forcé sa belle-fille à dire qu'elle avait été agressée sexuellement par un de ses enseignants, en avril 2010. Une enquête basée sur ces faux renseignements avait été instituée, à cette époque.
«Film d'horreur»
Qualifiant les faits présumés de «mauvais film d'horreur», le juge Louis Dionne a ordonné la détention provisoire de l'accusé, qui reviendra devant la cour mercredi prochain.
Agence QMI Kathryne Lamontagne02/02/2012 23h44

jeudi 2 février 2012

La police de Québec cherche à identifier un homme qui offrait des bonbons à un enfant Manchette

Le Service de police de la Ville de Québec demande l’aide de la population afin d’identifier le conducteur d’un véhicule orange assez récent. Le conducteur de ce véhicule a offert des friandises à une jeune fille près de l’école la Chaumière (4285 René Chaloult) à Québec. L’homme serait dans la vingtaine avec des cheveux bruns courts, une casquette blanche et un manteau blanc et bleu.
Pour une intervention immédiate faites le 911. Si vous détenez des informations vous pouvez aussi composez le 641-AGIR, qui demeure confidentiel.

Services de garde: la DPJ appelée en renfort.

Quelques dizaines de fois par année, la Direction de la protection de la jeunesse est appelée à intervenir dans les services de garde à la suite d'une plainte au ministère de la Famille.
Dès qu'une plainte donne l'impression qu'une situation est dangereuse pour un enfant, la DPJ est appelée sur les lieux.
Si la plainte vise une éducatrice, celle-ci sera immédiatement retirée de son groupe. En milieu familial, la responsable du service de garde verra son permis suspendu sur-le-champ et les enfants dont elle a la garde lui seront retirés.
Mauvais traitements, force excessive, manque de soins et agressions sexuelles sont les principaux motifs d'intervention.
Au terme de l'enquête, environ le tiers des signalements se révèlent fondés.
«L'objectif est de protéger l'enfant. On ne veut pas prendre de risque», explique le sous-ministre adjoint à la Direction générale des services de garde éducatifs à l'enfance, Jacques Robert.
L'an dernier, le Ministère a reçu 89 plaintes qui ont nécessité l'intervention de la DPJ. De ce nombre, 28 ont été jugées fondées, dont 22 en milieu familial, 5 en garderie et 1 en CPE.
Depuis le mois d'avril 2011, la DPJ a été appelée à intervenir dans 66 dossiers. Des 18 plaintes jugées fondées, 17 concernaient un service de garde en milieu familial; l'autre visait une garderie.
Ces signalements sont nécessaires puisqu'ils visent à protéger l'enfant. Mais lorsque les plaintes sont jugées non fondées, les conséquences sont importantes pour l'éducatrice injustement soupçonnée. «Ce n'est pas facile», souligne le président de l'Association des garderies privées du Québec, Sylvain Lévesque.
Publié le 02 février 2012 à 07h17 Mis à jour à 07h17
Pascale BretonLa Presse

Justice - Pornographie juvénile : des dizaines d'arrestations en Ontario

Voyez cette super vidéo de MSN - Pornographie juvénile

La Police provinciale de l'Ontario affirme avoir porté un coup dur à la pornographie juvénile. Au moins 50 personnes ont été appréhendées, mercredi, un peu partout dans la province.
Une vingtaine de corps policiers ont participé à cette vaste opération, qui pourrait être la plus importante du genre de l'histoire canadienne.
Au total, environ 200 chefs d'accusation doivent être déposés contre les individus qui ont été arrêtés.
Certaines personnes arrêtées avaient des milliers d'images de pornographie infantile dans leur ordinateur. Même s'il s'agissait d'arrestations coordonnées, les personnes ciblées n'avaient pas de lien entre elles. Les autorités confirment qu'il ne s'agit pas un réseau.
Les policiers doivent donner plus de détails sur cette opération lors d'une conférence de presse à 10 h, à Vaughan en Ontario.
Ils seront accompagnés de représentants de l'Association canadienne des fournisseurs Internet ainsi que d'organismes qui viennent en aide aux victimes d'agressions sexuelles.

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