Le bourreau d'une adolescente se retrouve à l'air libre
SAINTE-CATHERINE - L'homme qui avait fait vivre des heures d'enfer à une adolescente de 14 ans en la violant à répétition avant de tenter de la noyer dans le Saint-Laurent, en novembre 2003, va bientôt se retrouver à l'air libre.
Frédéric Dompierre va en effet quitter, au cours des prochaines semaines, la maison de transition dans laquelle il vivait depuis sa sortie de prison, à l'été 2010.
Ainsi en a décidé la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) le 14 décembre. De plus, la condition stipulant qu'il ne doit pas se retrouve seul en présence d'une personne mineure a été modifiée.
La CNLC a justifié sa décision en expliquant que l'agresseur s'était dernièrement « repris en main ».
« Vous avez trouvé récemment une formation emploi, vous avez obtenu votre attestation d'études secondaires et vous vous êtes investi dans des travaux compensatoires afin de vous acquitter de contraventions non payées. Vous avez aussi poursuivi une activité de bénévolat à l'église où vous avez effectué ces mêmes travaux compensatoires », peut-on lire dans la décision de la Commission. La CNLC a retiré la condition spéciale d'assignation à résidence, car elle estime que le risque de récidive de Dompierre est négligeable.
La condition spéciale de ne plus se retrouver en présence d'une personne mineure sans la présence d'un adulte responsable a été modifiée afin de permettre à Dompierre « de poursuivre [ses] études professionnelles sans entrave », précise la CNLC dans sa décision. Dompierre pourra ainsi côtoyer des mineures d'au moins 16 ans.
Dompierre, aujourd'hui âgé de 26 ans, devra cependant aviser les autorités de toute nouvelle relation affective avec une personne de sexe féminin.
Les commissaires ont pris ces décisions parce que l'agresseur aurait terminé avec succès un programme de l'Université de Montréal destiné aux délinquants sexuels.
Un revirement de situation puisque, lorsqu'il était incarcéré, Dompierre avait cessé de participer à des programmes similaires de réhabilitation.
Dompierre continuera à être suivi par un psychologue concernant sa « dynamique sexuelle », ainsi que différents aspects de sa vie.
Crime sordideFrédéric Dompierre, qui était âgé de 18 ans au moment de l'agression de l'adolescente en 2003, avait été condamné en 2005 à 11 ans de prison. Comme il se trouvait déjà derrière les barreaux depuis deux ans, sa sentence avait été réduite à sept ans. À l'époque, le temps passé derrière les barreaux avant une condamnation comptait double.
Dompierre et son complice, Steve Lapointe, connaissaient leur victime, une adolescente originaire de Candiac. Celle-ci avait été déshabillée, violée, battue et frappée au front avec une pierre. Son calvaire aurait duré plusieurs heures. Ses agresseurs avaient aussi essayé de la noyer avant qu'elle parvienne à se réfugier sur un îlot. Revenue sur la rive, elle avait été battue de nouveau et était retournée sur l'îlot pour échapper à ses agresseurs.
Une fois que ceux-ci étaient partis, l'adolescente avait marché nue et frigorifiée jusqu'à une résidence de Sainte-Catherine pour demander du secours.
Frédéric Dompierre va en effet quitter, au cours des prochaines semaines, la maison de transition dans laquelle il vivait depuis sa sortie de prison, à l'été 2010.
Ainsi en a décidé la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) le 14 décembre. De plus, la condition stipulant qu'il ne doit pas se retrouve seul en présence d'une personne mineure a été modifiée.
La CNLC a justifié sa décision en expliquant que l'agresseur s'était dernièrement « repris en main ».
« Vous avez trouvé récemment une formation emploi, vous avez obtenu votre attestation d'études secondaires et vous vous êtes investi dans des travaux compensatoires afin de vous acquitter de contraventions non payées. Vous avez aussi poursuivi une activité de bénévolat à l'église où vous avez effectué ces mêmes travaux compensatoires », peut-on lire dans la décision de la Commission. La CNLC a retiré la condition spéciale d'assignation à résidence, car elle estime que le risque de récidive de Dompierre est négligeable.
La condition spéciale de ne plus se retrouver en présence d'une personne mineure sans la présence d'un adulte responsable a été modifiée afin de permettre à Dompierre « de poursuivre [ses] études professionnelles sans entrave », précise la CNLC dans sa décision. Dompierre pourra ainsi côtoyer des mineures d'au moins 16 ans.
Dompierre, aujourd'hui âgé de 26 ans, devra cependant aviser les autorités de toute nouvelle relation affective avec une personne de sexe féminin.
Les commissaires ont pris ces décisions parce que l'agresseur aurait terminé avec succès un programme de l'Université de Montréal destiné aux délinquants sexuels.
Un revirement de situation puisque, lorsqu'il était incarcéré, Dompierre avait cessé de participer à des programmes similaires de réhabilitation.
Dompierre continuera à être suivi par un psychologue concernant sa « dynamique sexuelle », ainsi que différents aspects de sa vie.
Crime sordideFrédéric Dompierre, qui était âgé de 18 ans au moment de l'agression de l'adolescente en 2003, avait été condamné en 2005 à 11 ans de prison. Comme il se trouvait déjà derrière les barreaux depuis deux ans, sa sentence avait été réduite à sept ans. À l'époque, le temps passé derrière les barreaux avant une condamnation comptait double.
Dompierre et son complice, Steve Lapointe, connaissaient leur victime, une adolescente originaire de Candiac. Celle-ci avait été déshabillée, violée, battue et frappée au front avec une pierre. Son calvaire aurait duré plusieurs heures. Ses agresseurs avaient aussi essayé de la noyer avant qu'elle parvienne à se réfugier sur un îlot. Revenue sur la rive, elle avait été battue de nouveau et était retournée sur l'îlot pour échapper à ses agresseurs.
Une fois que ceux-ci étaient partis, l'adolescente avait marché nue et frigorifiée jusqu'à une résidence de Sainte-Catherine pour demander du secours.
Agence QMI David Penven22/12/2011 13h58
Bonne chance. Es-ce qu'on va le revoir dans les manchettes pour une nouvelle affaire dès ca sortie. c'est à voir.
RépondreSupprimerqui sommes nous pour juger...?
SupprimerCeux qui ont vue les images de ce quil a fait .. avec aucune scrupule et aucune pitié envers un enfant .. toi tes qui ? tit coune
Supprimer"Qui sommes nous pour juger"
SupprimerLâchez moé avec vos paroles biblique dans ces cas là !
trop de mondes parlent des autres .pourquoi ne parle t ils pas d eux .souvent ils sont pire . a reflechire!!!!
RépondreSupprimerY merite pas detre en liberté .. stun erreur de la nature .. un predateur un dangé ...
RépondreSupprimerJe crois qu'il a raison, on est qui pour juger. A 18 ans c'est encore un enfant. Ce qu'ils ont fait reste innaccptable. Mais un homme peut changer en prison, surtout sans drogue ni alcool!!
RépondreSupprimerwooo le tarla a 18 ans on est adulte et y en avait 19 wake up
SupprimerUn adulte responsable de ses actes . Il est et restera un dangeureux delinquant sexuel . Lachez moi sa reabilitation . Sa place est en prison un point ses tout . La seule personne de qui ont devrait parler est la victime . Et pour se qui est de ceux qui dise qui suis je pour jugez " je suis une victime "
RépondreSupprimerImagine les parents de la victime (Ta propre fille qui subit cette enfer !!!!)
RépondreSupprimerDoit avoir une coupelle de belle idées de vengeance qui doit te passer dans tête comme parents ! Ces aggresseurs méritent pas moins que l'enfer sur terre et ce A VIE !!