jeudi 29 mars 2012

Mihran Dadourian Dentiste.(64ans) Montréal.

Publié le 29 mars 2012 à 13h49 Mis à jour à 13h49

Le procès du dentiste reporté pour cause de nouvelle preuve.


Après une journée d'audience, le procès du dentiste Mihran Dadourian est interrompu et reporté à plus tard pour cause de «nouvelle preuve». L'homme de 64 ans est accusé d'avoir agressé sexuellement une patiente dans son cabinet, au centre-ville de Montréal, le 1er octobre 2008.
Le procès devait se poursuivre ce matin avec la suite de l'interrogatoire de la plaignante, originaire du Congo. Mais durant toute la matinée, la procureure de la Couronne Anne Aubé et l'avocat de la défense, Pierre Poupart, se sont entretenus en privé. Vers 12h25, ils sont revenus devant le juge Salvatore Mascia pour dire que le procès devait être reporté. «J'ai rencontré un témoin hier soir et j'ai appris de l'information nouvelle qui doit être vérifiée», a fait valoir Me Aubé. Elle a signalé que cette preuve n'était pas en lien avec la crédibilité de la plaignante. Les parties doivent maintenant trouver une nouvelle date pour la suite de ce procès, qui devait initialement durer trois jours.
Le Dr Dadourian a plaidé coupable d'inconduite sexuelle devant l'Ordre des dentistes pour cette affaire. Il a été radié pour trois mois et a écopé d'une amende de 1000 $. Il a retrouvé son droit de pratique en juillet dernier. Il reconnaît avoir eu une activité sexuelle (une fellation) dans son cabinet avec cette patiente, mais il soutient qu'il s'agissait d'une «relation d'affaires avec consentement mutuel». La plaignante affirme au contraire qu'elle n'a jamais consenti à cette relation. Elle soutient qu'il l'a prise au dépourvu alors qu'elle était toujours sur la chaise du dentiste, la bouche gelée, après s'être fait plomber deux dents.


mardi 27 mars 2012



Disparition d'un adolescent
La police demande l'aide de la population.




MONTRÉAL – La police de Montréal sollicite la collaboration de la population pour retrouver un adolescent de 15 ans disparu depuis plus de deux mois.
Devin Sharma, qui mesure 1,70 m (5 pi 7) et pèse 68 kg (150 lb), a été aperçu pour la dernière fois le 15 janvier. Il a les cheveux et les yeux bruns et porte une boucle d'oreille à l'oreille gauche.
Au moment de sa disparition, il portait un chandail à capuchon bleu foncé avec un motif noir à l'avant. Il portait également un jeans noir et des souliers de marque Nike, bleu et blanc, avec des lacets blancs.
Selon le SPVM, Devin Sharma serait dépressif et pourrait avoir des idées suicidaires.
Quiconque ayant des renseignements sur cette personne est invitée à contacter les enquêteurs via Info-Crime au (514) 393-1133. Toute information sera traitée avec discrétion.

Agence QMI 27/03/2012 15h28

samedi 24 mars 2012

Roberto Manuel Belnavis( 36ans) Plateau, Montréal



Justice
Le «violeur du Plateau» bientôt libre.

MONTRÉAL – Roberto Manuel Belnavis, surnommé le «violeur du Plateau» pour sa série d'agressions à l'endroit de jeunes femmes à l'été 2004, sortira de prison d'ici quelques jours.
Le 1er avril, il aura atteint les deux tiers de sa peine et pourra purger le reste de celle-ci dans la collectivité. M. Belnavis a été condamné à 12 ans de prison en 2005, mais étant donné le temps qu'il avait passé en détention préventive, il ne lui restait que 9 ans et 6 mois à faire derrière les barreaux au moment où sa sentence a été prononcée.
5 victimes en un mois
Le «violeur du Plateau» avait semé l'émoi au sein de la population montréalaise en juillet 2004, après avoir fait cinq victimes âgées de 16 à 25 ans en l'espace d'un mois. Ses agressions sexuelles étaient particulièrement violentes. Il s'en était même pris à une femme enceinte, qui, heureusement, n'avait pas été blessée sérieusement.
Dans tous les cas, son modus operandi était le même. L'homme abordait d'abord ses victimes en leur posant une question, les agrippait par le cou, puis les traînait subitement dans une ruelle à proximité, avant de les violer. Il les menaçait parfois en leur disant qu'il était armé d'un couteau.
Des enquêteurs de la police de Montréal et de la Sûreté du Québec avaient uni leurs efforts pendant plusieurs semaines afin de retrouver l'auteur de ces agressions sordides. L'histoire avait été fortement médiatisée et un portrait-robot de M. Belnavis avait été diffusé massivement. L'initiative avait d'ailleurs porté fruit, puisque les policiers avaient ensuite reçu plus de 500 appels du public, ce qui avait mené à son arrestation.
La sentence que le juge avait attribuée à l'homme avait été vivement critiquée par ses victimes, qui réclamaient une peine plus sévère. En maison de transition
Roberto Manuel Belnavis sera désormais assigné à une maison de transition.
Puisqu'il a été déclaré délinquant sexuel dangereux à contrôler, il devra se soumettre à une période de probation de 10 ans dès que sa peine prendra fin, soit en 2015. D'ici là, il aura également des conditions à respecter qui seront établies par la commission des libérations conditionnelles du Canada.
S'il ne respecte pas une des conditions, M. Belnavis risque de retourner derrière les barreaux sous de nouvelles accusations.
Agence QMI Laurent Dionne22/03/2012 21h06

mardi 20 mars 2012

La peine de Graham James

Voyez cette super vidéo de MSN - La peine de Graham James

WINNIPEG – L'ancien entraîneur de hockey junior Graham James a été condamné à deux ans d'emprisonnement, mardi, à Winnipeg, pour avoir abusé sexuellement de joueurs sous sa gouverne dans les années 1980 et 1990.
James, âgé de 59 ans, avait plaidé coupable en décembre 2011 à des accusations d'agressions sexuelles contre l'ancienne vedette des Flames de Calgary, Theoren Fleury, et son cousin, Todd Holt, alors qu'ils étaient mineurs.
La juge Catherine Carlson a indiqué dans sa décision que Graham « pouvait essentiellement faire ce qu'il voulait », sous peine de briser les espoirs de ses victimes de pouvoir un jour évoluer dans le monde professionnel.
« Un tel comportement est répréhensible et n'est pas toléré par la société », a indiqué la juge Carlson.
La juge a raconté que Holt avait demandé à James de l'échanger, mais ce dernier lui a dit qu'aucune autre équipe ne voulait l'avoir dans ses rangs.
Holt croit que James « a pu ruiner sa carrière », a précisé la juge Carlson.
Ce qui est arrivé à Fleury et Holt « est le cauchemar de tout parent et de tout enfant », a souligné la juge dans sa décision.
La Couronne avait demandé une peine de six ans contre Graham James tandis que la défense avait suggéré une peine conditionnelle de 12 à 18 mois.

Agence QMI 20/03/2012 12h28 - Mise à jour 20/03/2012 13h08

vendredi 16 mars 2012

Un oncle accusé d'abus sexuels.
(CHICOUTIMI) Une jeune fille accuse son oncle d'avoir abusé d'elle à plusieurs occasions de 2007 à 2010 alors qu'elle avait entre 9 et 12 ans.
Après en avoir discuté avec des amies, elle a été convaincue de décrire dans une lettre les gestes qu'elle avait subis. Sa lettre a été acheminée à la Direction de la protection de la jeunesse qui l'a retirée du milieu familial, jugé trop peu adéquat.
Hier, au procès de l'oncle, la plaignante a écouté un enregistrement visuel et sonore de la déclaration qu'elle a faite à un enquêteur de la Sécurité publique de Saguenay le 3 février 2010 pour le dénoncer.
Ce visionnement en présence de l'accusé devant le tribunal lui évite de répéter la version livrée devant un autre forum. L'avocat de la défense, Me Charles Cantin, a enchaîné avec un contre-interrogatoire.
La jeune fille déclare qu'à quatre ou cinq occasions, son oncle lui a fait subir ce qu'elle appelle du «doigtage», une expression utilisée pour décrire le geste qu'il posait sur son organe génital. À une occasion, il aurait utilisé un vibrateur pour abuser d'elle, ce qui a amené le procureur de la Couronne, Me Jean-Sébastien Lebel, à porter une accusation spécifique «d'agression sexuelle armée (d'un vibrateur)».
L'oncle a assisté impassible au témoignage de sa nièce avec laquelle il n'a plus de contact, par ordonnance du tribunal.
Selon la version de la plaignante, son oncle parvenait à ses fins en la tenant fermement et en lui disant de ne pas bouger.
Après une journée d'audition devant la juge Micheline Paradis de la Cour du Québec, le contre-interrogatoire a été ajourné aux 29 et 30 mai.
Plusieurs amies et membres de la famille de la plaignante l'accompagnent durant les procédures et bénéficient de l'aide du Centre d'aide aux victimes d'actes criminels. L'accusé demeure en liberté sur engagement pendant la durée des procédures.


Serge LemelinLe Quotidien

Roger Grégoire (59ans) Thetford Mines

Agressions sexuelles: sept chefs déposés contre un homme de 59 ans.

(Thetford Mines) Un résidant de Thetford Mines, Roger Grégoire, 59 ans, a comparu plus tôt cette semaine au palais de justice de Thetford Mines sous sept chefs d'accusations à caractère sexuel.
L'individu en question aurait commis des agressions à caractère sexuel, particulièrement des attouchements, sur des jeunes filles d'âge mineur entre 1986 et 2008.
Après son arrestation par les enquêteurs de la Sûreté municipale, Grégoire a été conduit au palais de justice pour y répondre à un chef d'accusation d'incitation à des contacts sexuels, trois chefs d'accusation de contact sexuel et trois chefs d'accusation d'agression sexuelle.
À la suite de sa comparution, Roger Grégoire a été libéré sous engagement.


Nelson FecteauLa Tribune

Eric Lepage (45ans) Saguenay, Dolbeau-Mistassini




Saguenay
Accusé d'agression avec un vibrateur.



QUÉBEC - Le procès d'un individu accusé d'agression sexuelle armée sur un enfant a débuté, hier, à Saguenay. Éric Lepage, 45 ans, fait face à trois chefs d'accusation.
Il est accusé de contact sexuel sur une personne de moins de 14 ans, d'agression sexuelle armée et de voies de fait.
Les crimes qui lui sont reprochés auraient eu lieu sur une période de trois ans. L'homme avait été arrêté en 2010. Il a plaidé non coupable et il a pu obtenir sa liberté pendant les procédures judiciaires.
Selon les informations obtenues, l'arme utilisée sur la jeune victime serait un vibrateur.
Le procès s'est ouvert hier avec le témoignage de la victime. La défense pourra maintenant commencer son contre-interrogatoire. Le procès se poursuivra le 29 mai prochain.




Agence QMI Jean-François Racine16/03/2012 02h29

jeudi 15 mars 2012

Femme (?ans) Granby

Mère accusée
Sexe, drogue et enfants.

Une mère de la région de Granby est ­accusée d'avoir drogué ses deux filles de 8 et 13 ans pour les utiliser comme jouets sexuels avec son ex-conjoint, en plus d'avoir incité son fils de 8 ans à «faire l'amour» avec elle.
«Maman m'a demandé de “faire le sexe” et j'ai dit non. Elle me l'a redemandé, s'il vous plaît, et j'ai dit non encore. On ne peut pas faire l'amour avec les parents», a relaté le cadet des trois enfants à la Sûreté du Québec, le 8 novembre, dans un interrogatoire vidéo à fendre l'âme qui a été ­diffusé au palais de justice de Cowansville, hier.

Éric Thibault15/03/2012 01h32

lundi 12 mars 2012

Ex pompier de Donnacona (33ans) Donnacona,

Coincé par J.E.
Le pompier cyberprédateur démissionne
.
QUÉBEC – Le pompier de la région de Québec, piégé par l'équipe de l'émission J.E. alors qu'il croyait rencontrer une fillette de 13 ans contactée sur le site de clavardage TAGZ, a remis sa démission à la municipalité de Donnacona.
Depuis la diffusion du reportage-choc, un climat de suspicion régnait dans plusieurs services d'incendie de la région dans le but de retracer l'homme de 33 ans. L'équipe de J.E. n'ayant pu révéler l'identité du cyberprédateur, faute d'accusation, elle avait uniquement précisé qu'il s'agissait « d'un pompier de la région de Québec », semant le doute chez plusieurs pompiers.
La pression sur les services d'incendie de la région de Portneuf s'est toutefois accentuée lorsque Dominic Maurais, animateur de CHOI Radio X, a révélé que le pompier poussé par ses pulsions sexuelles travaillait dans une municipalité de cette région.
Pompier de Donnacona« Lundi, des informations nous indiquaient qu'il s'agissait possiblement d'un pompier de la région de Portneuf. Donc, on a fait une enquête interne pour voir si c'était quelqu'un de chez nous », explique le maire de Donnacona, Sylvain Germain.
M. Germain et le directeur du service d'incendie ont donc rencontré les pompiers pour vider la question. « Dans le cadre de l'enquête, il y a un pompier qui a formulé le souhait de nous rencontrer et nous a remis sa démission pour des motifs personnels », relate le maire.
M. Germain refuse d'être plus précis sur les raisons de la démission du pompier volontaire de 33 ans à l'emploi de Donnacona depuis six ans, mais il ajoute que la démission a été acceptée et que l'enquête interne sur la question est close.
Mettre un terme aux rumeursLe reportage de J.E. a démontré que le pompier de Donnacona avait clavardé avec Hélodie, le faux profil créé par l'équipe, pendant trois mois avant de finalement obtenir une rencontre. Dès les premières discussions, le prédateur avait orienté la discussion sur le sexe, laissant peu de doutes sur ses intentions, avant de tout nier une fois questionné par le journaliste Michel Jean.
« Quand on cible un corps de pompiers, ça cible tous les pompiers, de toutes les municipalités en même temps. Veux, veux pas, j'imagine qu'il y a des conjointes qui posaient des questions aux conjoints », fait remarquer le maire qui voulait mettre rapidement un terme à la chasse aux sorcières qui prenait de plus en plus d'ampleur.
« C'est décevant de perdre un pompier, mais outre mon rôle de maire, j'ai aussi un rôle de père de famille et quand je vois des reportages comme ça, ça vient me chercher. C'est inacceptable et c'est punissable », conclut M. Germain, convaincu d'avoir agi dans l'intérêt de la population.
Agence QMI Nicolas Saillant08/03/2012 08h52

Jacques Desjardins (55ans) Amqui, Rimouski

Agressions sexuelles
Jacques Desjardins reconnu coupable.


RIMOUSKI – L'ex-commissaire industriel de Rimouski et d'Amqui, Jacques Desjardins a été trouvé coupable d'agression sexuelle sur deux mineures, vendredi après-midi, au palais de justice de Rimouski.
Le juge Richard Côté a indiqué en expliquant son verdict qu'il n'avait jamais cru les versions présentées par l'accusé dans ses témoignages. Jacques Desjardins, âgé de 55 ans, est accusé d'avoir porté des gestes à caractère sexuel sur deux jeunes filles âgées de 10 à 16 ans, entre juin 2002 et décembre 2008.
Les témoignages entendus lors du premier procès de deux semaines touchant une première présumée victime ont été acceptés dans le deuxième procès. Bien que les gestes reprochés à l'accusé soient différents - on parle de fellation dans le premier cas et d'attouchements dans le second -, ils se seraient produits à la même époque et dans des circonstances similaires.
Les représentations sur sentence sont prévues pour le 29 juin. Jacques Desjardins, qui a été bénévole pour le Club de patinage artistique de Rimouski et président des Tennis de Rimouski, subira deux autres procès pour des accusations similaires portées par deux autres jeunes femmes, les 4 et 5 juin, ainsi que du 3 au 6 juillet.
Agence QMI Pierre Michaud et Alexandre d'Astous09/03/2012 20h26

Homme (38ans) St-Jérome, Gore.

Pédophilie
Trente mois de prison pour un père indigne.


SAINT-JÉRÔME – Un père de quatre enfants de Saint-Jérôme a été condamné vendredi à 30 mois de prison pour violence, abus sexuels et pornographie.
L'homme de 38 ans, qui ne doit pas être identifié pour protéger les victimes aujourd'hui âgées entre 6 et 15 ans, faisait face à 24 chefs d'accusation de voies de faits, d'agressions sexuelles, de menaces de mort, de production de pornographie juvénile et de possession de cannabis.
Les crimes ont eu lieu de 2005 à 2011, à Saint-Jérôme et à Gore dans la région d'Argenteuil.
La mère des enfants, âgée de 32 ans, était victime de certaines des accusations, mais elle a aussi été accusée d'attouchements sexuels et d'agressions sexuelles armées pour avoir participé aux gestes répugnants de son conjoint. Elle doit revenir en cour en juin.
La police a trouvé plus de 200 DVD au domicile de l'accusé, qui filmait ses actes domicile. D'ailleurs sa conjointe participait parfois au tournage en tant qu'« actrice » s'adonnant au sexe oral sur les enfants.
Le père indigne a reconnu sa culpabilité à la plupart des faits qui lui étaient reprochés vendredi et il a été condamné sur le champ.
Debout, les yeux rivés au sol, enchaîné entre deux gardiens, l'homme de petite taille a écouté la longue nomenclature de ses gestes, répondant parfois au juge d'une voix à peine audible, avant d'être reconduit en cellule pour purger sa peine.
Suggestion commune
La sentence était une suggestion commune de la Couronne et de la défense. Elle comporte une probation de trois ans, l'interdiction de communiquer avec ses enfants (sauf sous la supervision de la DPJ), de posséder un ordinateur et, pendant 10 ans, de posséder une arme et de se trouver dans des lieux fréquentés par des mineurs.
L'accusé sera en outre inscrit au registre des délinquants sexuels pour une période de 20 ans.
Les enfants n'auraient apparemment pas trop souffert des abus sexuels. Ils ont quand même été retirés à leurs parents.
Les trois plus jeunes ont été confiés à d'autres membres de la famille, tandis que l'aîné, qui aurait subi le plus de violence, se trouve dans un centre d'hébergement pour adolescents à cause de ses comportements violents.

Stéphane Abran (48ans) Trois-Rivière, St-Maurice, Notre dame du Mont Carmel.

Stéphane Abran subira son procès le 30 octobre.
(Trois-Rivières) C'est le 30 octobre prochain que Stéphane Abran, président du Syndicat des enseignants et enseignantes de la Riveraine, subira son procès pour agression sexuelle sur un mineur devant un juge de la Cour du Québec.
La date du 1er novembre a également été retenue dans l'éventualité où le procès durerait plus qu'une journée.
On sait qu'au terme d'une enquête préliminaire tenue au palais de justice de Trois-Rivières, Stéphane Abran, 48 ans, a été cité à subir un procès pour six chefs d'accusation d'agressions sexuelles, d'attouchements sexuels et d'incitations à des contacts sexuels.
La présumée victime dans cette affaire serait un mineur de 13 ans. L'adolescent ne serait toutefois pas un élève de l'école secondaire Jean-Nicolet où Abran enseignait à temps plein depuis 1997-1998. Selon l'acte d'accusation, les faits qui lui sont reprochés seraient survenus entre le 1er mars 2010 et le 20 août 2010 à Notre-Dame-du-Mont-Carmel et à Saint-Maurice.
Abran est enseignant permanent en sciences humaines à l'école secondaire Jean-Nicolet depuis l'année scolaire 1997-1998. Depuis 2010, il est libéré de ses fonctions d'enseignant, ayant été élu président du syndicat des enseignants.
En 2000, on l'avait également accusé d'avoir agressé sexuellement deux garçons dont il s'était occupé à la fin des années 80 et au début des années 90. Il avait cependant été acquitté puisque la preuve s'était avérée insuffisante pour conclure à une culpabilité hors de tout doute raisonnable.
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Nancy MassicotteLe Nouvelliste