Romuald Pavy
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QUÉBEC - Romuald Pavy, un ancien professeur de danse de la région de Saguenay reconnu coupable d’attouchements sexuels sur deux jeunes filles de 12 et 13 ans, a été condamné à 16 mois de prison.
L’agresseur avait d’abord plaidé coupable pour avoir entretenu une relation amoureuse avec une adolescente de 12 ans qui disait éprouver également des sentiments pour son professeur. L’homme originaire de France avait ensuite été reconnu coupable d’attouchements sexuels et d’incitation à des contacts sexuels sur une adolescente de 13 ans.
Le professeur avait admis sa culpabilité dans le premier cas puisqu’il avait été surpris en flagrant délit par une caméra cachée par les parents de l’adolescente amoureuse. Ceux-ci avaient été alertés par la conjointe de l’homme, qui soupçonnait une relation intime entre son mari et la jeune fille.
Romuald Pavy a cependant toujours réfuté les gestes commis à l’endroit de la plus vieille victime.
Selon la preuve, les contacts sexuels se sont produits à deux reprises avec son élève de 13 ans, alors que la relation amoureuse avec la fillette de 12 ans a duré quatre mois. Les gestes reprochés sont survenus au domicile et au local de danse de l’homme de 38 ans.
L’avocat de la défense, Michel Boudreau, était satisfait de la sentence du juge d’imposer 16 mois de prison, alors que la Couronne exigeait 27 mois. «La décision du juge est motivée et non appelable», a affirmé l’avocat, qui proposait 11 mois de prison pour son client.
Retour en France
Romuald Pavy et sa conjointe, avec qui il s’est marié pendant le procès et qui attend un enfant depuis, ne possèdent pas la citoyenneté canadienne.
Compte tenu de sa culpabilité, Pavy a manifesté le désir de retourner dans son pays d’origine après avoir purgé sa sentence. Le professeur de danse, fiché au registre des délinquants sexuels, souhaite reprendre son travail une fois de retour dans son pays.
Il a l'air quand même respectable. La preuve qu'on ne peux ce fier à personne.
RépondreSupprimerAu départ marié à la mère de son actuelle conjointe, il a tout de même finalement épousé sa belle-fille.
RépondreSupprimerPas très net déjà.
S'il a l'air respectable, c'est parce qu'il l'est. il a certes eu tord d'avoir une relation amoureuse avec une gamine consentente qui avait loin d'avoir l'innocence que l'on attribue généralement à son jeune âge, mais il n'a jamais eu de relation avec la cousine jalouse de cette gamine (un détail oublié pendant le procès).
RépondreSupprimerMonsieur Pavy est loin d'être le pervers que la presse canadienne voudrait le faire passer pour, pire Monsieur Pavy n'a pas eu un procès équitable , où est le doute raisonnable ? et qu'à donc foutu son avocat ?. A sa place, il pourrait toujours courir pour que je lui paie ses honoraires, à croire qu'il était de connivence avec les soi-disantes victimes. Le fait que ce dernier soit maintenant nommé juge en dit long sur son désintéressement.
Coller à Monsieur Pavy une étiquette de pédophile est une injure et une diffamation.
Je ne souhaite pour ma part que ces deux gamines, qui fouttent en l'air la vie d'une personne, sans un soupçon de remord, aient un jour affaire à un vrai pédophile.
De toute façon, elles paieront un jour de leur perfidie. On ne peut pas toujours vivre impunément.
Ce commentaire écrit le 29 mai 2012 ne peut avoir été écrit que par la conjointe de Romuald Pavy, qui se dévoile en parlant du procès alors que ces éléments ne sont pas connus du grand public.
SupprimerMadame, il est inadmissible que vous puissiez librement souhaiter aux victimes de votre mari de rencontrer à nouveau des criminels. Cela m'apparaît comme des menaces à peine voilées.
Je demande aux administrateurs ce de site de retirer ce commentaire par respect pour les victimes et ceux qui ont été touchés de près ou de loin par ce crime.
Julie Morin
Saguenay
Erreur Madame MORIN, je ne suis pas la conjointe de Monsieur PAVY mais une amie de la famille, et je connais Monsieur PAVY depuis sa naissance.
SupprimerVoilà comment des préjugés débiles finissent par emprisonner des personnes et leur coller une étiquette qu'elles ne méritent pas.
Pourquoi retirer mon commentaire ? et pas les autres ? la liberté d'expression n'est-elle qu'à voie unique ?
Madame Julie Morin, je vois que vous avez pris votre partie de croire la masse populaire ou bien seriez vous amie, voire parente, avec les pseudo-victimes ????
De plus Madame MORIN lorsque l'on sait que vous avez contribué à licencier Monsieur PAVY et que lorsque vous avez voulu témoigné lors du procès pour l'accusation mais que vous n'avais même pas été foutue de donner l'emploi du temps des professeurs et les présences des élèves au juge qui vous avait demandé afin de justifier les soi-disants évènements, on peut douter de votre impartialité.
SupprimerPeut-être, si je me laissais divaguer à conclure et à tirer des préjugés comme vous le faîtes, je pourrais conclure que vous trop moche et imbue de votre personne pour susciter un regard de la gente masculine, ou que vous aviez des vues sur Monsieur PAVY et qu'il n'a pas daigné y répondre.
Cela va pour votre objectivité
En outre, je n'ai pas dit, et c'est là que l'on aperçoit la limite de votre compréhension des choses, que je souhaite aux victimes de rencontrer A NOUVEAU des criminels, mais que ces prétendues victimes, qui n'en sont pas, aient un jour affaire à un VRAI pédophile puisqu'elles savent très bien que leurs mensonges contribuent à détruire la vie d'un innocent, ce qui est totalement différent.
Il est totalement inadmissible de souhaiter à des gamines de rencontrer un jour un pédophile. La personne ayant écrit ces lignes sous couvert d'anonymat devrait retirer ses propos.
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