Pierre-Olivier Fortin MISE à JOUR
Coup d'oeil sur cet article
Un jeune homme de 20 ans qui aurait leurré des adolescentes sur internet afin d’obtenir des photos d’elles nues a comparu au palais de justice de Roberval. Il aurait fait huit victimes à Québec et au Saguenay-Lac-Saint-Jean, mais les policiers croient qu’elles ne seraient peut-être pas les seules.
Jean-François Cantin a été arrêté mardi à son domicile de Dolbeau-Mistassini et a comparu mercredi. Il fait face à des accusations de leurre informatique et de possession de pornographie juvénile. Les policiers ont perquisitionné à deux endroits de la ville, y compris à son domicile. Ils ont saisi du matériel informatique qui sera analysé prochainement.
Les enquêteurs de la Sûreté du Québec et de la police de Québec travaillaient sur son cas à la suite de dénonciations de victimes présumées. Cinq d’entre elles sont d’Alma, une habitait Saguenay et deux, Québec. Les policiers croient que Cantin pourrait avoir fait d’autres victimes dans la capitale.
Ses agissements auraient débuté en 2013, selon Marie Eve Painchaud, porte-parole de la police de Québec. Cantin «se créait de faux profils, dont celui d’Alex Sasseville, sur divers réseaux sociaux» comme Facebook, Instagram et SnapChat, «afin de trouver et de leurrer ses jeunes victimes et d’obtenir des photos d’elles dénudées».
«Il envoyait des photos de ses parties intimes et demandait des photos d’elles nues», précise Mme Painchaud. Il s’agirait d’adolescentes âgées de 13 à 15 ans.
Mme Painchaud n’a pas pu préciser davantage, mais le fait qu’il ne soit pas question d’échanges totalement volontaires et que les présumées victimes soient jeunes permet d’accuser le suspect de leurre.
Jean-François Cantin a été arrêté mardi à son domicile de Dolbeau-Mistassini et a comparu mercredi. Il fait face à des accusations de leurre informatique et de possession de pornographie juvénile. Les policiers ont perquisitionné à deux endroits de la ville, y compris à son domicile. Ils ont saisi du matériel informatique qui sera analysé prochainement.
Les enquêteurs de la Sûreté du Québec et de la police de Québec travaillaient sur son cas à la suite de dénonciations de victimes présumées. Cinq d’entre elles sont d’Alma, une habitait Saguenay et deux, Québec. Les policiers croient que Cantin pourrait avoir fait d’autres victimes dans la capitale.
Ses agissements auraient débuté en 2013, selon Marie Eve Painchaud, porte-parole de la police de Québec. Cantin «se créait de faux profils, dont celui d’Alex Sasseville, sur divers réseaux sociaux» comme Facebook, Instagram et SnapChat, «afin de trouver et de leurrer ses jeunes victimes et d’obtenir des photos d’elles dénudées».
«Il envoyait des photos de ses parties intimes et demandait des photos d’elles nues», précise Mme Painchaud. Il s’agirait d’adolescentes âgées de 13 à 15 ans.
Mme Painchaud n’a pas pu préciser davantage, mais le fait qu’il ne soit pas question d’échanges totalement volontaires et que les présumées victimes soient jeunes permet d’accuser le suspect de leurre.