Alors que Steve Beauregard accordait une entrevue aux médias lors du procès en mai dernier, Georges Boisvert s'est approché de lui pour l’intimider
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C’est pratiquement sans équivoque que Georges Boisvert, un individu de 60 ans de la Rive-Sud de Québec, a été trouvé coupable, hier, des chefs d’accusation qui pesaient contre lui.
C’est pratiquement sans équivoque que Georges Boisvert, un individu de 60 ans de la Rive-Sud de Québec, a été trouvé coupable, hier, des chefs d’accusation qui pesaient contre lui.
«Votre version est tout simplement invraisemblable et, en aucun cas, elle ne concorde avec la personnalité de votre victime.»
Voilà l’une des premières phrases prononcées par le juge René de la Sablonnière pour aborder le sujet de la culpabilité de Boisvert qui a toujours nié avoir eu des relations sexuelles avec sa victime alors que celle-ci était adolescente.
«Tout au plus, vous reconnaissez avoir eu des relations à la majorité de votre victime, en précisant cependant que ces relations étaient volontaires, consensuelles... pratiquement à la demande du plaignant», a ajouté le magistrat pendant que, dans la salle, Boisvert gardait les yeux fermés.
Rappelons que sur près de dix-sept ans, Boisvert a attenté à la pudeur de sa victime, qu’il a commis à son égard de la grossière indécence et qu’il l’a agressée sexuellement.
De voisin à bourreau
Le président du tribunal a également souligné que l’accusé avait joué différents rôles dans la vie de sa jeune proie, étant d’abord son voisin, puis l’ami de ses parents avant de devenir l’amant de sa mère, puis son beau-père.
À l’issue de la séance, Steve Beauregard, la victime, s’est dit soulagé par cette décision qui survient après des années de silence.
«Votre version est tout simplement invraisemblable et, en aucun cas, elle ne concorde avec la personnalité de votre victime.»
Voilà l’une des premières phrases prononcées par le juge René de la Sablonnière pour aborder le sujet de la culpabilité de Boisvert qui a toujours nié avoir eu des relations sexuelles avec sa victime alors que celle-ci était adolescente.
«Tout au plus, vous reconnaissez avoir eu des relations à la majorité de votre victime, en précisant cependant que ces relations étaient volontaires, consensuelles... pratiquement à la demande du plaignant», a ajouté le magistrat pendant que, dans la salle, Boisvert gardait les yeux fermés.
Rappelons que sur près de dix-sept ans, Boisvert a attenté à la pudeur de sa victime, qu’il a commis à son égard de la grossière indécence et qu’il l’a agressée sexuellement.
Le président du tribunal a également souligné que l’accusé avait joué différents rôles dans la vie de sa jeune proie, étant d’abord son voisin, puis l’ami de ses parents avant de devenir l’amant de sa mère, puis son beau-père.
À l’issue de la séance, Steve Beauregard, la victime, s’est dit soulagé par cette décision qui survient après des années de silence.
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