Publié le 28 avril 2014 à 10h04 | Mis à jour le 28 avril 2014 à 10h04
Accusé d'agressions sexuelles sur une fillette, il est cité à procès
(Trois-Rivières) Rodney Jr Cleary a été cité, vendredi, à subir son procès pour des crimes à caractère sexuel et des voies de fait sur des mineurs.
L'individu de 51 ans, qui purge déjà une peine de prison de trois ans pour violence conjugale, est en effet soupçonné d'avoir abusé sexuellement une personne d'âge mineur entre janvier 2007 et septembre 2010.
Sur une base régulière, il se serait livré à des attouchements sexuels sur la présumée victime alors qu'elle était âgée entre six et dix ans. Il aurait même eu des relations sexuelles complètes avec elle. Des accusations d'agressions sexuelles, attouchements sexuels et incitation à des contacts sexuels ont donc été portées contre lui. Il doit aussi faire face à un chef de voie de fait contre cette même personne.
Qui plus est, il aurait malmené trois autres enfants au cours de cette période, leur infligeant notamment des coups dans le ventre et au visage. Lorsque les sévices auraient commencé, les trois victimes étaient âgées entre deux et 14 ans environ.
Vendredi, alors qu'il était rendu au stade de son enquête préliminaire et que les témoins de la Couronne avaient été convoqués au palais de justice, Cleary a finalement renoncé à cette étape des procédures.
Le juge Jacques Lacoursière l'a donc cité à subir son procès sur les chefs tel que cités, soit les crimes à caractère sexuel et les voies de fait. À la demande de la défense, la cause a été reportée pour la forme au 19 juin. Une date de procès pourrait alors être fixée.
Rappelons qu'en août 2013, Cleary s'était vu imposer par le juge Guy Lambert une peine de trois ans de pénitencier pour des voies de fait, des voies de fait armées, une agression sexuelle armée et des menaces de mort à l'encontre de son ex-conjointe.
À quatre reprises entre mars 2008 et juin 2010, il l'avait frappée et menacée de mort. Selon ce que la victime avait relaté, il lui avait entre autres enfoncé un fusil chargé au fond de la gorge pour ensuite la forcer à avoir des relations sexuelles avec lui. Il avait aussi appuyé un couteau sur son ventre pour ensuite la menacer et la frapper à quelques reprises.
La victime se rappelle qu'il lui avait déjà cogné la tête sur la bouilloire et l'avait étranglée parce que les petites cuillères n'étaient pas rangées à son goût. Il lui avait également tiré les cheveux et l'avait menacée de l'enterrer vivante elle et ses enfants, de sorte que personne ne puisse les retrouver.
Une fois la sentence prononcée, la victime, Caroline Lavoie avait demandé la levée de l'ordonnance de non-publication sur son identité parce qu'elle voulait inciter les femmes victimes de violence conjugale à porter plainte contre leur agresseur.
Sur une base régulière, il se serait livré à des attouchements sexuels sur la présumée victime alors qu'elle était âgée entre six et dix ans. Il aurait même eu des relations sexuelles complètes avec elle. Des accusations d'agressions sexuelles, attouchements sexuels et incitation à des contacts sexuels ont donc été portées contre lui. Il doit aussi faire face à un chef de voie de fait contre cette même personne.
Qui plus est, il aurait malmené trois autres enfants au cours de cette période, leur infligeant notamment des coups dans le ventre et au visage. Lorsque les sévices auraient commencé, les trois victimes étaient âgées entre deux et 14 ans environ.
Le juge Jacques Lacoursière l'a donc cité à subir son procès sur les chefs tel que cités, soit les crimes à caractère sexuel et les voies de fait. À la demande de la défense, la cause a été reportée pour la forme au 19 juin. Une date de procès pourrait alors être fixée.
Rappelons qu'en août 2013, Cleary s'était vu imposer par le juge Guy Lambert une peine de trois ans de pénitencier pour des voies de fait, des voies de fait armées, une agression sexuelle armée et des menaces de mort à l'encontre de son ex-conjointe.
À quatre reprises entre mars 2008 et juin 2010, il l'avait frappée et menacée de mort. Selon ce que la victime avait relaté, il lui avait entre autres enfoncé un fusil chargé au fond de la gorge pour ensuite la forcer à avoir des relations sexuelles avec lui. Il avait aussi appuyé un couteau sur son ventre pour ensuite la menacer et la frapper à quelques reprises.
La victime se rappelle qu'il lui avait déjà cogné la tête sur la bouilloire et l'avait étranglée parce que les petites cuillères n'étaient pas rangées à son goût. Il lui avait également tiré les cheveux et l'avait menacée de l'enterrer vivante elle et ses enfants, de sorte que personne ne puisse les retrouver.
Une fois la sentence prononcée, la victime, Caroline Lavoie avait demandé la levée de l'ordonnance de non-publication sur son identité parce qu'elle voulait inciter les femmes victimes de violence conjugale à porter plainte contre leur agresseur.
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