Quatre ans de pénitencier pour un pédophile
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Un homme de 62 ans vient d’être condamné à purger quatre ans de pénitencier pour avoir initié une jeune fille de 9 ans à la sexualité en lui faisant «jouer» différents rôles.
C’est en pleurnichant que Michel Simard, 62 ans, un fervent amateur d’Elvis Presley s’est adressé à sa victime, mercredi matin.
Lettre à la main, tremblant, le récidiviste a dit à la jeune femme qu’il regrettait amèrement les gestes posés à son égard entre les mois de septembre 1999 et juin 2001.
« Depuis plus de 10 ans, je tente de maîtriser mes démons et là, j’ai la ferme intention de guérir pour ne plus récidiver», a dit celui qui, en 1996, a reçu une peine de 90 jours pour des abus qu’il a eus envers deux fillettes alors âgée de 9 et 5 ans.
C’est en «faisant jouer» la jeune fille à «être sa partenaire» que Simard a commencé à avoir de l’emprise sur sa jeune victime qui ne comprenait pas, à l’époque, les gestes posés par l’homme.
Avec lui, elle a appris les baisers et les caresses mais aussi les fellations, la masturbation et les cunnilingus.
À l’âge de 11 ans, lorsqu’elle a compris que les gestes posés à son endroit étaient habituellement réservés aux amoureux, elle a fait savoir au pédophile qu’il ne devait plus poser les mains sur elle.
Un avertissement qui a été compris par l’accusé.
« Je suis toutefois demeurée prisonnière de mon secret pendant treize ans... jour où j’ai dénoncé les abus dont j’ai été victime», a fait savoir la jeune femme au sortir de la salle de Cour.
C’est en pleurnichant que Michel Simard, 62 ans, un fervent amateur d’Elvis Presley s’est adressé à sa victime, mercredi matin.
Lettre à la main, tremblant, le récidiviste a dit à la jeune femme qu’il regrettait amèrement les gestes posés à son égard entre les mois de septembre 1999 et juin 2001.
« Depuis plus de 10 ans, je tente de maîtriser mes démons et là, j’ai la ferme intention de guérir pour ne plus récidiver», a dit celui qui, en 1996, a reçu une peine de 90 jours pour des abus qu’il a eus envers deux fillettes alors âgée de 9 et 5 ans.
C’est en «faisant jouer» la jeune fille à «être sa partenaire» que Simard a commencé à avoir de l’emprise sur sa jeune victime qui ne comprenait pas, à l’époque, les gestes posés par l’homme.
Avec lui, elle a appris les baisers et les caresses mais aussi les fellations, la masturbation et les cunnilingus.
À l’âge de 11 ans, lorsqu’elle a compris que les gestes posés à son endroit étaient habituellement réservés aux amoureux, elle a fait savoir au pédophile qu’il ne devait plus poser les mains sur elle.
Un avertissement qui a été compris par l’accusé.
« Je suis toutefois demeurée prisonnière de mon secret pendant treize ans... jour où j’ai dénoncé les abus dont j’ai été victime», a fait savoir la jeune femme au sortir de la salle de Cour.
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